Dégats des sangliers
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- 04/04/2009 à 07:28 #410277
bonjour à tous.
il y a quelques dizaines d’années les 2 millions de chasseurs que compter notre France, se sont mis d accord avec les agriculteurs pour payer les dégâts occasionnes par les 40 000 sangliers de l époque; or aujourd’hui nous sommes plus que 1,2 million de chasseurs et nous avons plus de 500 000 COCHONS!!!!! la donne est radicalement différente
Nous avons donnes notre accord de payer pour rendre service aux agriculteurs pour venir en aide aux dégâts causes part les sangliers
Comment faire aujourd’hui pour combler ce déficit financier ?
D’autant plus que le cochon est souvent classe nuisible, il va falloir encore payer pour tuer des bêtes nuisibles ?Solution surprenante:pourquoi pas ,au nom du bien public,les chasseurs ne seraient pas payer pour réguler sérieusement les bêtes noire ?
Cela nous permettrais de renflouer notre porte monnaie? OU MIEUX ENCORE ?se servir de cette manne pour améliorer la chasse en général,reproductions, lâchers, créer des abreuvoirs, des agrainages…. de facilite la chasse pour les jeunes qui souvent n ont pas de gros moyens financiers pour chasser,voila tout un programme à méditer et a faire savoir autour de nous:yes:
bebert04/04/2009 à 22:28 #451703
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et oui l’argent fait tourner des tetes c’est domage alors que le seul but devrais etre le bien etre de la faune et de nos belles colines
31/10/2011 à 19:20 #496268Bonsoir, un petit up pour ce sujet, depuis quelques temps maintenant des sangliers se défoulent sur mon terrain, me défoncent la cloture etc…
Quels sont mes possibilités légales tout d’abord pour enrayer ce problème cloture électrique, piègeage, battue adminsitrative etc…, je sais ils étaient la avant ma piaule (lol) D’autre part je suis dans un quartier résidentiel mité de maisons.
Merci de vos réponses
Cordialement
Vincent.06/06/2014 à 08:17 #582947Bonjour
Voici un extrait de la brochure éditée par l’ ASPAS, nos plus virulents opposants, qui présente le nouveau type de réserves privées créées sur notre territoire….
ces reserves ESPACE ne sont soumises a aucune gestion et favorisent la prolifération ‘tout azimut’ des ongulés.
A l’heure ou le prix du timbre grand gibier augmente au point de devenir insupportable dans certains département (nos amis du 83 en savent quelque chose!!!) les chasseurs, mais aussi les agriculteurs apprecieront:evil: !!!!!A vous de juger.
À travers son Conservatoire privé ESPACE et grâce
à la confiance et à la générosité des adhérents et de
trois fondations privées amies, le 17 septembre dernier
l’ASPAS a fait l’acquisition de 105 hectares de bois et
de landes sur la commune de Véronne (Drôme).
……………………………………………..
Le mode de gestion choisi est celui de la libre évolution (naturalité). La promenade
non-motorisée sera libre sur les sentiers existants, dans le respect absolu de la faune
et de la flore sauvages. Aucune chasse ne sera autorisée au même titre que toute autre
activité de l’homme néfaste à la faune et à la flore. Aucune activité de bucheronnage
ne sera autorisée à l’exception de minimes opérations de sécurisation indispensables06/06/2014 à 08:55 #582948Bonjour
Voila une idée qui est bonne ce faire payer pour chasser les sangliers
Voyez vous il y de cela quelques années les chasseurs qui chasse avec l’accord des propriétaires sur de petites parcelles pouvait tirer le sanglier a balle obligatoire alors que maintenant des chasseurs don je faits partie n’en ont plus le droit pour cause de plan de chasse ( bracelets) (+ 100 hectares minimum d’un seul tenant)
mais il veule donné le droit aux agriculteurs qui ne porte pas de permis c’est dingue non06/06/2014 à 12:35 #582954
Raphael30 – Modérateur LocalisationNord Bouches du Rhône
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Ce qui ne dispensera en aucun cas l’ASPAS de se plier aux régles existantes en matières de régulation administrative et d’indemnisation des dégâts.
Cf. le communiqué du président de la Fédé 26, cité dans le site: Chien-courant.com (http://www.chien-courant.com/forumfinal/viewtopic.php?f=49&t=23914&start=10)
“A l’instar des éleveurs la fédération départementale des chasseurs de la Drôme tient à réagir sur la présentation de l’opération organisée lors de l’inauguration de la réserve de vie sauvage du Grand Barry.
Il est hélas assez courant, quoique fâcheux, de constater que d’aucuns s’expriment facilement à la place de l’autre, notamment en lui prêtant des intentions au demeurant dénuées de tout fondement. C’est le cas par exemple du tohu-bohu médiatique qui a relayé l’inauguration de la réserve de vie sauvage du Grand Barry. Or, le monde de la chasse, contrairement à ce qui a été dit, est totalement indifférent à ce qu’il considère comme un non événement, au regard des nombreuses et importantes actions de même nature qu’il conduit en l’espèce à tous les niveaux depuis fort longtemps.
De quoi s’agit-il en effet ? De l’achat d’une propriété d’une centaine d’hectares que l’acquéreur a décidé de préserver de toute activité humaine et notamment (surtout ?) d’y interdire la chasse.
Prétendre que l’on pourrait s’opposer à ce type d’acquisition visant à instaurer une réserve ne repose sur aucun fondement. Que représentent en effet ces 100 hectares au regard des plus de 50.000 hectares de réserves de chasse instituées depuis 50 ans dans le département par les chasseurs drômois, soit une superficie 500 fois supérieure à celle de l’acquisition de l’ASPAS ?
Il est en outre tout aussi fallacieux de prétendre que cette propriété constitue le premier exemple de réserve privée en France. Sans évoquer la création du parc du Marquenterre (Somme) par la seule famille Jeanson sur une superficie de plus de 1000 hectares, il convient de rappeler entre autres exemples la mise en réserve, dans l’Ain, du domaine de Praillebard par son propriétaire M. Pierre Vérots, de surcroit chasseur, où sur 190 hectares de bois et d’étangs sont conduites depuis 1984 des recherches scientifiques par l’Université, le CNRS et l’ONCFS.
Il en va de même avec un autre exemple en Drôme, qui semble étonnamment avoir été oublié malgré son importance. En 2011, en effet, est inaugurée la réserve biologique intégrale (RBI ) de Saint Agnan en Vercors (Drôme) et Saint Andéol en Vercors (Isère). Cette RBI couvre une superficie de 3000 hectares où depuis 3 ans le gestionnaire laisse libre cours « à la dynamique spontanée des habitats, aux fins d’étude et de connaissance des processus impliqués, ainsi que de conservation ou développement de la biodiversité associée (entomofaune, saproxylique, etc.) (sic). Dans cette RBI, comme dans la réserve de vie sauvage du « Grand Barry » toutes les opérations sylvicoles sont exclues, sauf cas particulier d’élimination d’essences exotiques ou de sécurisation d’itinéraires longeant ou traversant la réserve. L’accès du public peut être réglementé voire interdit. Tous éléments
identiques à ceux adoptés dans la charte du « Grand Barry ». De la même manière la chasse y est interdite. La régulation des ongulés y est toutefois possible en cas de dommages avérés aux propriétés voisines ou d’épizootie.
Cette disposition légale et réglementaire pourra naturellement s’appliquer en tant que de besoin à la réserve de vie sauvage du « Grand Barry ». En effet si la chasse est interdite conformément au souhait du propriétaire, ce qui en soi est respectable et sera respecté, celui-ci ne pourra pas s’opposer aux mesures administratives de régulation prises par l’administration. En outre, la responsabilité financière du propriétaire pourra être recherchée conformément à la loi en cas de dommages avérés aux territoires proches de la réserve. Enfin dans un autre aspect qu’il importe de ne pas méconnaitre, la combinaison des articles L422-15 et R 428-1 du Code de l’environnement prévoit que « le
passage des chiens courants sur des territoires bénéficiant du statut de réserve ne peut être considéré comme chasse sur réserve ou chasse sur autrui sauf si le chasseur a poussé les chiens à le faire ». Il en résulte qu’au plan pénal ce passage des chiens ne constitue pas une infraction, seule une action civile pourrait le cas échéant être retenue en cas de dommages. Ces dispositions sont évidemment opposables aux gestionnaires du Grand Barry comme de ses voisins.
Enfin il me parait essentiel de rappeler et d’insister sur les actions remarquables conduites par les chasseurs de France à travers la Fondation pour la protection des habitats et de la faune sauvage (Wildlife Habitats Foundation – WHF) créée en 1979 et reconnue d’utilité publique en 1983. Cette fondation pratique ainsi depuis plus de quarante ans une politique d’acquisitions foncières de territoires remarquables et menacés d’importance nationale, régionale ou locale. Ces acquisitions sont possibles grâce aux donations volontaires des chasseurs de 83 fédérations départementales qui en participant au financement de la Fondation ont permis à celle-ci d’être actuellement
propriétaire de près de 5 500 hectares dans 60 départements (cf carte ci-dessous). Ces territoires destinés à être intégralement protégés ou réhabilités font que chaque chasseur est aujourd’hui propriétaire d’un joyau qu’il convient de faire découvrir et reconnaître par l’ensemble des usagers de la nature. Cette fondation permet ainsi aux chasseurs d’agir pour la conservation et la sauvegarde des habitats de la faune sauvage tout en informant et éduquant les français aux actions de protection en faveur des milieux naturels.
Le monde de la chasse est par conséquent plutôt précurseur dans ce domaine et n’a donc rien à apprendre et encore moins à envier vis-à-vis de l’opération conduite en Drôme par l’ASPAS, d’autant que la situation du « grand gibier » dans notre département ressemble plutôt à une explosion qu’à une diminution notamment pour le cerf, le chevreuil, le chamois et le sanglier . Le monde de la chasse pèche sans doute d’un déficit de communication. Il est toutefois surprenant de constater qu’une telle méconnaissance d’une réalité quasi historique puisse à ce point occulter des opérations de grande
envergure conduites depuis plus de quarante ans sur des fonds privés financés exclusivement par les chasseurs au profit d’une acquisition objectivement fort modeste et à l’intérêt local limité qui a bénéficié au demeurant d’une exposition médiatique disproportionnée. Ces précisions visent à remettre les choses à leur place.
Il y a là une forme d’injustice à ne pas rendre compte de cette réalité et « quand une injustice est commise quelque part, elle est une menace pour la justice dans le monde entier » Martin Luther King.”Alain Hurtevent
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