Comment avez vous connu vos coins à morilles…
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bonjour a tous
il me parait etre interessant de savoir si vous detenez vos coins a champignons par vous même ou si vous les detenez de votre famille :grand-père ou père .. ou du moins d en parler ici ..
Mes coins à champignons on était découvert par moi même en les cherchant et en baladant!;)
bonjour,
j’ai découvert moi-meme,certains de mes coins a champignons , d’autres m’ont été indiqués par mon grand-pere, mon pere, mon oncle.
en tous les cas , il est nécessaire de balader en colline au moment des pousses, rien de tel pour trouver les raudous.Bonjour ,
Certains par moi même et d’autre par mon oncle
Salut, idem que cocardier tout seul comme un grand 😀
au fil de mes balade en regardant les différent biotope pouvant donner de la morilles avec de la recherche et beaucoup de patience.
exemple: ma dernière cueillette de dimanche 2,136 kg faite dans un village et un coins ou j’avais jamais mit les pieds.;)Salut à tous !
Moi les bons coins à morilles, c’est mes parents qui m’y ont emmené quand j’étais tout gamin déjà ( j’en trouvais et les mangeais des crues parait il ..; ! )
J’en ai découvert d’autres étant plus grand, en colline et au bord des rivières quand j’allais à la peche …:bj: donc une belle part au hasard et beaucoup de chance par la famille .. je suis prêt pour la saison prochaine dans mon centre Var………
En pêchant pour la plupart …
Les autres, au cours de balades bien ciblé !Bonsoir,
je connais deux coins,
Le premier, c’est ma grand mère qui m’a mis sur la piste car c’est à cet endroit qu’elle en ramassait avec sa mère pendant la guerre. Le deuxième, c’est à force de voir toujours la même voiture,à la même époque, garée toujours au même endroit…..que j’ai fini par comprendre que le monsieur ne faisait pas une “simple” promenade.
pour ma part j ai trouvé mes coins en baladant et en pêchant
j’ai découvert les coins à morilles en prospectant à droite et à gauche, en m’instruisant sur les lieux où sont susceptibles de pousser les morilles et après c’est au petit bonheur à la chance. Il y a quand même le “flair” qui joue. Tous les coins à morilles que je connais, je les ai découverts toute seule. J’en ai plusieurs qui me permettent d’en ramasser pendant un mois et demi environ, à des altitudes et des milieux différents. Voilà pour mon expérience. Il faut de la passion.
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