grive, passion, tradition
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Bonsoir à tous,
je remonte ce sujet, afin d’avoir votre avis sur ces 3 mots.“grive, passion, tradition”
grive:
Presque le seul mot qui fait de moi un chasseur. J’aime aussi chasser la caille des blé, la palombes. Je ne me retiendrais pas si je croise un lièvre inopinément au travers de mes quelques sorties…
Les geais, pies, et autres corbeaux non plus mais ils n’occupent pas la même attention que la grives pour moi.
Les turdidés occupent tellement d’importance à mes yeux que parfois je me retient un coup de fusil sur une palombe parceque je sais qu’elles ne sont pas loin. Je réserve beaucoup trop mes coups de fusils à celles-ci, ce qui bien souvent me fait rentrer bredouille mais qu’importe, je n’en suis pas plus mécontent.passion:
Au travers des mots ci-dessus j’ai déjà presque tout résumé. Une passion certaine quasi-exclusive pour la grive… J’arrive pourtant avec quelques années de retard quoique…..
Il y à quelques années la migration était grosse dans le coin, beaucoup de chasseurs, beaucoup de boites de cartouches….
Mais cela à un peu changé, beaucoup moins de grives, beaucoup beaucoup moins de chasseurs!
Qu’importe, le peu de grives qui passent sont exclusivement pour moi 🙂 . Je dis ça mais vu que plus personne ne tire, peu de mouvements, c’est assez difficile…
Même si elles sont peu, je suis là, et faute de pouvoir en tirer j’en vois quand même quelques unes c’est agréable, surtout à entendre.tradition:
Dans mon cas la chasse à la grive n’est pas une tradition… mais la passion est ressortie des beaux moments de ma jeunesse que j’ai vécu en accompagnant mon grand-père, et mon père.
Pourtant pas créance sur la grive, mais ces beaux souvenir de matinée de chasse, je les revis en ce moment en me promenant pour des grives…
Je ne vois plus grand chose, je ne chasse plus grand chose…………….. mais je m’en fout! je passe un beau moment!Salut,
Salut,
Comme il est dit, ils sont indissociables, et impossible à expliquer il y a uniquement les passionner qui le savent ce que ses mots veulent dire et qui sont tombés dedans des leurs jeunes âges qui leurs a étaient transmis par d’autres de leurs générations.
Tiens un exemple de ma passion le migrateur, grives, palombes, canards, le jour où un des trois est en migration tu peux toujours m’inviter au lièvre, perdreaux etc. je ne viendrai pas et dans le doute que sa passe aussi. 😉
Bonjour,
Rural dans le sang et plus que jamais attaché à cette terre de notre chère Provence
De ses collines enchantées, balayées par le mistral, sous un ciel d’azur ensoleillée
fasciné par l’univers de Pagnol dès la première rencontre,
envouté par les récits de chasse des gens que j’ai pu rencontré dans ma vie,
avec cet accent du midi qui me fait chaud au coeur,
je suis fier d’être chasseur
et sous l’impulsion de grives.net et des gens que j’ai pu y rencontrer,
un rêve se réalisa,
je suis entré dans la grande famille des chileurs…#yoo#Comme picsou, visceralement attaché à la garrigue et a la vigne ( petit fils de viticuleur), j’ ai eu la chance de grandir à la campagne dans une famille de chasseurs( grand pere, pere, oncles) et d’ hériter de l’ art de vivre des gens de la terre. Impregné tout petit et à jamais par la chasse lors de mes débuts en temps que “retriever” à l’ agachon, en regardant mon grand père depouillé le soir les cochons dans sa remise, en attendant le retour de mon père pour savoir si il avait ramené un lapin, le repas de fete le jour de l’ ouverture des vignes. Puis j’ ai fait le porte carnier plus tard, puis j’ ai fait mes 1 ere grives dans le laurier au fond du jardin du papé.puis j’ ai eu 16 ans et le permis……. L’ histoire continue toujours…..
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