La perdrix rouge…
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Bonjour VPC. tes vidéos sont vraiment de bonnes qualités.:bj: , idem pour moi, la chasse en battue çà ne m’intéresse pas pour ce gibier.
Salut,
Pour ma part les souches locales ont disparues depuis bien longtemps avec la fermeture des milieux et de nombreuses constructions sur les meilleurs tènements. C’est bien un gibier sur lequel j’aimerais travailler pour développer une souche semi sauvage par des lâchers d’été dans un premier temps. Après avoir géré un élevage de lapin et le travail hebdomadaire que cela représente, lâcher des perdreaux, abreuver, agrainer et entretenir quelques parcelles de cultures à gibier à l’aide de mon tracteur rouge me semble beaucoup plus facile puisque ce n’est qu’une partie de l’année. Les guarrigues et les vignes où je pratique la chasse du migrateur sont bien stériles de plumes , à part quelques lièvres et lapins.
Salut a tous . J’ai connu les années 70 ou les compagnies de rouges étaient souvent composées de 16 unités et avec des vols trés puissant et bruyant au décollage , le temps de se remettre de ses émotions on avait a peine épaulé qu’ils étaient loin . Aujourd’hui on a presque le temps de fumer une cigarette avant de tirer . La moyenne des compagnies est maintenant autour de 10 unités .
salut flasco,on parle de perdrix sauvage,donc si toi tu à le temps de fumer une cigarette avant de la tiré :bigeek:
alors là je dit chapeau bas :champion: #yoo#Bonjour, sur notre térritoire nous avons 4 compagnies de sauvage, elles sont intirable pour la simple et bonne raison qu’elles se trouvent en bordure de falaise et au moindre bruit elles partent en contre bas ou il n’y a aucun accés.
Par contre nous faisons des prélachés, ils sont vraiment indispensable pour tenir une petite quantités de gibiers aux agissements digne de sauvages.
J’ai eu il y a deux ans des naissances sous couveuses ensuite tenu par des poules naine, la par contre nous avons eu des oiseaux vraiment sauvage.
Mais il faut obligatoirement agir sur la sauvagine pour avoir des résultats.C’est bien un gibier sur lequel j’aimerais travailler pour développer une souche semi sauvage par des lâchers d’été dans un premier temps
Bonjour Picsou. C’est un excellent compromis, lâcher en Juillet des perdreaux de huit semaines par groupes de 10/12 individus autour d’agrainoirs et de points d’eau. L’ayant vécu, je te garantis que ces oiseaux s’adaptent très vite et se comportent comme des sauvages à condition bien sur, comme le dit très justement Serre, de s’occuper de réguler les nuisibles .
Bonsoir,
De mon côté je chasse les perdrix dans le maquis jusqu’à la fin octobre qui est synonyme de l’arrivée des premières bécasses en montagnes, je délaisse alors les perdrix pour mon gibier fétiche.
L’année passée ayant été catastrophique je n’ai chassé que très très peu les perdrix, nous sommes tributaires de la météo et de la reproduction.
Les bonnes saisons ont peut trouver de très belles compagnies d’oiseaux.
D’une manière générale je les cherches en zone de plaine le matin ou elles descendent se nourrir et boire, tandis que le soir je marche sur les crêtes qui constituent leur zone de repos.
Ma période favorite est octobre, car avant la chaleur est telle que l’on ne peut chasser qu’une heure ou deux le matin et guère plus le soir.
Mon setter craignant la chaleur, il préfère nettement les températures plus fraîches et les lendemains de pluie.
Sur toutes les communes ou je chasse strictement aucun laché d’oiseau n’est organisé et nous ne chassons que du gibier sauvage né dans le maquis.
Les bonnes saisons ou la reproduction est avec nous, nous nous faisons plaisir, les mauvaises comme l’année passée nous nous limitons ce n’est pas plus compliqué que ça.
La chasse de la perdrix étant une chasse ingrate pour beaucoup il est vrai qu’elle est recherchée les premiers jours puis très vite délaissée au profit du gibier roi en Corse qui est le sanglier.
Dans mon village seuls quelques chasseurs s’y consacrent réellement, nous ne sommes pas plus que quatre ou cinq….
J’ai de l’espoir pour la saison prochaine….Cordialement
Salut,
J’ai passé quelques mois en Corse où j’étais stagiaire dans un domaine viticole. Le “patriarche” de la famille qui ne chassait plus depuis une 20ène d’années m’avait dit qu’autrefois les densités étaient bien plus importantes, notamment après la guerre. Le déclin était du d’après lui à la diminution des culltures céréalières ainsi que des prairies favorisant les insectes. Il y avait toutefois des moins bonnes années suivant les conditions météo. Plus que la régulation des prédateur, c’est peut être dans certains cas la rénovation du biotope qui serait profitable aux perdrix, mais c’est plus facile à dire qu’à faire avec des propriétaires parfois réticents.
Salut,
J’ai passé quelques mois en Corse où j’étais stagiaire dans un domaine viticole. Le “patriarche” de la famille qui ne chassait plus depuis une 20ène d’années m’avait dit qu’autrefois les densités étaient bien plus importantes, notamment après la guerre. Le déclin était du d’après lui à la diminution des culltures céréalières ainsi que des prairies favorisant les insectes. Il y avait toutefois des moins bonnes années suivant les conditions météo. Plus que la régulation des prédateur, c’est peut être dans certains cas la rénovation du biotope qui serait profitable aux perdrix, mais c’est plus facile à dire qu’à faire avec des propriétaires parfois réticents.
Salut picsou,
Ce constat est vrai, les populations de perdrix ont chuté suite à la déprise agricole.
Chez moi il y avait des champs de blé, colza, tournesol et j’en passe.
Désormais sur des milliers d’hectares il n’y a plus rien, seules les terres pâturables perdurent et bien évidement le maquis à repris le dessus au profit du sanglier et au détriment des perdrix.
Il existe heureusement encore quelques beaux coins et de belles campagnies de perdrix.
Les chasseurs ce sont rapidement tournés vers le sanglier en délaissant les rouges, ce qui permet sans doute de laisser prospérer une bonne partie de la population.
Enfin, le maquis est si dense que même s’il ne favorise pas les perdrix a au moins le mérite de les protéger (comme les bécasses), ce qui fait qu’au final pas mal d’oiseaux sont peu ou pas chassables.
Les perdrix se défendent comme des diablesses, il faut préserver notre souche locale et interdire les lâcher d’oiseaux porteurs de maladies, souvent infertiles de surcroit et qui tendrait à “abastardir” cette souche, mais c’est un autre débat.Salut,
Ce n’est pas une légende, la Corse est un véritable sanctuaire, ça fait rêver;)
Salut,
Ce n’est pas une légende, la Corse est un véritable sanctuaire, ça fait rêver;)
salut picsou,
pour chasser un peu partout en france je ne changerais pour rien au monde ma région et mes coins de chasses.
Même si les densités ne sont pas comparables à celles de la sologne ou de l’espagne, nous chassons du sauvage, rien que du sauvage, ça n’a pas de prix….
le maquis est rude et les perdrix comme les bécasses, se méritent durement….heures de marche, chaleurs, rudesses du biotope sont autant d’obstacles à franchir qui rendent cette chasse passionnante et méritante.
Dans un tel milieu seul des chiens au mental d’acier tirent vraiment leur épingle du jeu.
Si tu veux voir des perdrix et encore plus des bécasses il te faut un spécialiste, un chien moyen se noiera rapidement…les densités ne sont pas celles d’un conte ou des années fastes, elles ont bien diminué comme tu l’a souligné à juste raison.
C’est la raison pour laquelle je ne chasse qu’avec des pointers ou des setters.
Des chiens de grandes, voir très grandes quêtes avec des capacités olfactives hors normes (notamment pour les pointers), qui permettent de prospecter le maquis de fond en comble.
même si j’apprécie la chasse aux gibiers d’eau (car elle aussi ne se consacre qu’au sauvage), rien ne procure autant de plaisir que de voir son chien à l’arrêt après des heures de marche, j’aime plus que tout les heures passées derrières mes chiens dans le maquis.
J’ai chassé pendant des années de façon quasi exclusive les perdrix, puis depuis quelques temps déjà je me suis passionné par la quête des bécasses qui est tout aussi passionnante, quoi qu’à mon avis un peu plus subtile.
Le bruit de l’envol d’une belle compagnie me fait toujours frémir…
j’attends ainsi avec impatience le premier dimanche de septembre….cordialement
Bonjour Pierre. continue à te faire plaisir et à nous faire voyager virtuellement.:yes: :bj:
notre chasse et en limite d une chasse a la journée qui lâche environ 20000 pieces perdreaux et faisans un grande parti passe au dessus de la clôture les limite sont très fréquenter une dizaine de perdreaux prélever dans la matinée arrive souvent !!!!!!!!
Même si les densités ne sont pas comparables à celles de la sologne ou de l’espagne,
Sauf que ce sont à 80% des oiseaux de lâchers.
[quote= pierre2a]Même si les densités ne sont pas comparables à celles de la sologne ou de l’espagne,
Sauf que ce sont à 80% des oiseaux de lâchers .[/quote]bonjour sony,
tu as sans doute raison… je préfère tuer nettement moins (ou rien) que d’aller tirer des perdrix de lâchées ou des faisans du même acabit.
d’ailleurs en parlant de faisans, il n’y en a pas chez moi… ça doit être comme les pies elles se sont perdues en route.
Je sais qu’il y en a en Balagne ainsi que sur quelques communes de montagne, mon père m’avait raconté qu’il y avait quelques compagnies quand il était jeune, depuis elles ont disparues avec les cultures…
le seul endroit ou j’ai vu de belles populations de faisans (sauvages) c’est en Camargue, d’ailleurs il n’y a pas ou peu de perdrix sur le territoire… allez comprendre…cdt
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