l’arrété du 12/01/2012 precipitera t il la fin de la chasse au poste
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bonjour.
l’arrété du 12 janvier 2012 autorisant la chasse a la grive a l’avant apres la fermeture a déja beaucoup d’adeptes mais aussi de détracteurs.
bien qu’a premiere vue ce soit une avancée positive, le but ultime ne serait il pas de porter un coup fatal a la chasse au poste avec tout ce qui en découle : glu, appelants…..car qui serait assez passionné pour entretenir un poste ou un agachon avec ses arbres de pose, ses cimeaux etc…pour y chasser 10 jours en fin de saison. bref, le but innavoué ne serait il pas de nous diviser pour mieux enterrer une de nos plus belle chasse traditionnelle?qu’en pensez vous?
bonsoir t13
il y a eu une demande de la part de certains départements ou le poste n’existe pas .a mon avis je ne pense pas que cela ne change quoi que ce soit pour la glu et les appelants vu qu’au mois de février les cages ne servent plus a grand chose et que la chasse au poste se pratique bien souvent a la mange,lierres,olives ou au trou d’eau.par contre le mega problème va être qu’au mois de février les grives se concentrent au bord des ruisseaux ou il y a du lierre et que la chasse de l’avant et la chasse au poste ne font pas bon ménage.a mon avis pour que ce soit possible il faudra que les sociétés qui le souhaitent instaurent des jours en alternance pour chaque mode de chasse
et dernier point attention que le chasseur ne devienne pas gibier ,car qui dit chasse en bord de ruisseau dit bille d’acier 😀Salut,
Ton raisonnement n’est pas bête…. Les manipulateurs sont parmis nous…
Plutôt d’accord avec vous même si a priori les zones pour se poster sont souvent différentes de celles pour chasser en avant. De plus, un peu de mouvement pourrait favoriser le déplacement des quelques grives récalcitrantes qui ne répondent pas aux chants des appelants :lick:
bien qu’a premiere vue ce soit une avancée positive, le but ultime ne serait il pas de porter un coup fatal a la chasse au poste?
Il ne faut pas le souhaiter. Chacun doit pouvoir trouver sa place, les chasseurs à la volée (dont je fais partie) doivent respecter les cabaniers et inversement les postiers doivent tolérer leur présence. Comme je l’ai déjà indiqué, ce n’est malheureusement pas toujours le cas, la cohabitation demeure parfois assez délicate .
Bonsoir Sony, et vous tous,
Comment imaginer une cohabitation entre les cabaniers et ceux qui chassent à l’avant.
Combien de fois les cabaniers voient ceux qui tirent à la volée se positionner à 50 m. de leur poste espérant que les cages vont appeler les grives dont ils seront les premiers bénéficiaires.
Le cabanier entretient toute l’année ses appelants, taille ses arbres, débroussaille, aménage son poste, arrive bien avant le lever du jour pour tout installer, se donne de la peine pour souvent un piètre résultat; l’autre passe par là, se place, tire, manque et fait tout partir, même le cabanier…Bonsoir Brancassi. Il existe aussi parfois des comportements plus respectueux et en ce qui me concerne, quand je vois un cabanier, je m’en vais ou je me place à un endroit qui ne le gênera pas. Il m’est aussi souvent arrivé d’aller à la rencontre de ces personnes pour leur demander si ma présence les dérangeaient, c’est une question de courtoisie et surtout de respect .
Bonsoir Sony, et vous tous,
Comment imaginer une cohabitation entre les cabaniers et ceux qui chassent à l’avant.
Combien de fois les cabaniers voient ceux qui tirent à la volée se positionner à 50 m. de leur poste espérant que les cages vont appeler les grives dont ils seront les premiers bénéficiaires.
Le cabanier entretient toute l’année ses appelants, taille ses arbres, débroussaille, aménage son poste, arrive bien avant le lever du jour pour tout installer, se donne de la peine pour souvent un piètre résultat; l’autre passe par là, se place, tire, manque et fait tout partir, même le cabanier….
il y a pas que les cabanniers a la grives qui ont se probleme.moi j ai le meme probleme pour les palombes,desfois les mecs se postent a 50 metres a gauche ou a droite profitent des vols appelé par mes appeaux et me les tirent devant.Sony, je connais bien ton savoir vivre et savoir chasser, mes propos n’étaient en aucune manière dirigés à ton encontre, si tous les chasseurs avaient le même comportement que toi, et bien d’autres ici même, j’en suis convaincu, ce sujet n’aurait pas eu lieu d’être. Mais hélas, ce n’est pas toujours le cas. La plupart des cabaniers ici présents en on fait un jour ou l’autre la consternante expérience.
Je te concède que certains comportements sont assez déplorables. Je m’écarte peut-être un peu du sujet mais même entre tireurs à la volée, la “concurrence” existe et peut parfois dégénérer car certains individus n’ont ni foi ni loi. Combien de fois m’est il arrivé de me retrouver avec un chasseur qui se plaçait devant moi ?
de toutes façons ici on a pas se probléme ,mais quand je chasser dans le var je respecté tous les chasseurs ,mais ce mots la et oublier de beaucoup de monde
Bonsoir,
À vous lire les cabaniers sont des victimes civilisées et respectueux tandis que ceux qui tirent au vol des arrivistes sans vergogne.
Sans prendre partie et avec un regard extérieur on se demande bien qui discrimine qui ?Cdt
Pour ma part je chasse principalement à l’avant et vais une ou deux fois au poste quand l’avant est fermé. Il m’est arrivé de passer à côté d’un poste qui était occupé mais que je n’avais pas vu puisque les appelants étaient plus en avant. Donc je me suis excusé en passant. Si je vois un poste occupé je vais plus loin ou sinon je change de bois. Maintenant si on passe devant un poste occupé, il ne faut pas non plus que le postier sorte du poste comme un fou pour montrer son mécontentement. Il faut de la courtoisie dans les deux sens.
Pour égayer un peu ce sujet, et j’espère que le Web ne m’en voudra pas, je vais vous raconter une histoire qui s’est passée il y a plus d’une dizaine d’années. Nous étions toujours une équipe d’amis qui chassions la grive dans le Vaucluse. Un matin de Décembre, l’un d’entre eux qui venait de reprendre son permis depuis peu après une longue interruption s’apprêtait à entamer une belle haie où nous avions aperçu quelques Chachas quand soudain il vit un magnifique oiseau perché au cimeau d’un chêne. Voyant l’embellie de pouvoir tirer facilement un premier gibier car il n’était pas particulièrement adroit, il envoya son premier coup de fusil mais l’oiseau ne bougea point. Persuadé d’avoir tiré à côté, il finit par lâcher le gauche sans que cet oiseau n’eut la moindre réaction. Quelle ne fut pas sa surprise quand il entendit un hurlement de rage d’un chasseur qui était posté sous ce qui se révéla finalement être un empaillé. Il prit donc la poudre d’escampette tout honteux de son erreur. Nous nous sommes ensuite tous retrouvés pour l’apéritif au bar du village et nous avons vraiment ri à gorge déployée de son histoire quand soudain nous nous sommes retrouvés au comptoir avec une personne, que je connaissais d’ailleurs, qui nous raconta qu’il était au poste et que dans la matinée, un abruti avait tiré 2 fois sur un empaillé et qu’il l’avait heureusement manqué, ce qui pour lui signifiait qu’il s’agissait non seulement d’un maladroit mais un plus d’un idiot. Autant vous dire que la personne concernée se garda bien de lui avouer son erreur .
La morale de cette histoire est que l’on peut parfois se tromper de bonne foi 🙂
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