Le constat est le même pour tous en général, faute de mauvaise gestion de chasse sans piégeage, de moins en moins d’agriculture céréalière, désherbant à outrance, de plus en plus de vignes sur fil de fer, arrachage de haies intensif, progression du sanglier qui ne néglige pas les couvées, braconage, progression de l’hurbanisation, de plus en plus de rendoneurs et vététistes, promenade avec chien pendant les couvées, la liste est longue… notre belle perdrix rouge disparait.
Sur mon territoire ou je chasse je ne lève plus une seule compagnie ou ou bien cela reste exeptionel, alors qu’il y a une dizaine d’année encore j’en levait quelques une et pourtant je suis quelqu’un qui parcoure des kilomètres dans la saison. Même les lachés ni font plus rien.
C’est bien triste.