Patrimoine de nos campagnes.
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Nos balades, promenades, randonnées dans la campagne nous permettent de découvrir ce que l’on nomme le “petit patrimoine”.
Des constructions, aménagements, abreuvoirs, cabanons, oratoires et autres qui “meublent” les bords des routes, des chemins et des champs et qui participent au charme et à l’intérêt de nos promenades et parties de chasse.
Voici, pour commencer, la dernière en date de mes découvertes: la noria de Caméjean située en bord d’une petite route, dans la campagne Lambescaine.
Construite en 1860, elle permettait d’arroser les plantations potagères.
Elles étaient, à l’époque, assez nombreuses. Peu ont survécu, celle-ci a été entièrement restaurée par l’association “Conservation du patrimoine de Lambesc” et elle est toujours fonctionnelle.
- La mécanique:
En fonctionnement (image tirée du site Lambesc.fr):
Bonjour
Un beau sujet pour lequel, malheureusement, je suis un peu sec. Ce n’est pourtant pas faute d’avoir parcouru la campagne dans bien des endroits de notre beau pays et d’avoir côtoyé moult curiosités mais pour lesquelles je n’ai guère de photos, et encore moins d’historique…
salut aux pennes il ont remis le moulin a vent en etat au prochaine moisson il va reprendre du service a+
Là, c’est l’église de Saint-Cirgues-la-Loutre, une église du 15 -ème siècle. Pour moi l’historique de cette église est que c’est là que mes parents se sont mariés pendant la guerre.
Je l’ai prise en photo, lors d’une étape, alors que j’emmenai ma maman dans un voyage souvenirs pour elle et de mes origines pour moi.
Je suis donc un enfant issu de la guerre. Mon grand-père maternel employé des TP avait dû quitter Cherbourg et le percement d’un tunnel, chantier mis à l’arrêt par la guerre et avait donc trouvé du travail sur le barrage du Gour Noir sur la Maronne.
Mes grands-parents paternels avaient dû quitter l’Alsace, expulsé hors de la ligne de démarcation car mon grand-père était parisien, et avaient donc atterri sur le même site.
Mon père, engagé volontaire en 39, fait prisonnier près de Dunkerque a réussi à s’évader, passer la ligne de démarcation, et rejoindre ses parents et le maquis sur cette zone.
Voici donc résumé le pourquoi du comment mes parents se sont rencontrés.
Petites constructions de pierres sèches, elles sont très nombreuses dans le Vaucluse (jusqu’à former de véritables agglomérations: Gordes, Bonnieux) ainsi que dans le Gard.
On les appelle bories dans le 84 et capitelles dans le 30. Elles sont présentes également en Dordogne (gariottes), en Bourgogne (cadoles) et d’autres régions de France.
Dans les Bouches du Rhône, on en trouve dans le massif du Talagard, près de Salon de Provence.
Celles-ci, dessous, peu nombreuses, sont situées dans le massif des Costes, sur la commune de Vernègues.
Dans une région aux étés caniculaires, l’eau c’est la vie.
Certaines de ces sorces datent de la plus haute antiquité (ci-dessous la source captée, à proximité de la chapelle ruinée de St Jean):
Ci-dessous , 2 sources en bord de chemin (commune de Vernègues):
Toujours sur la commune de Vernègues, lieu-dit Les Clèdes, cet abreuvoir destiné à recueillir les eaux de pluie, renversé par le tremblement de terre de 1909.
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