olivierp
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Je suis en train d’exploiter un carré de peupliers à moitié morts, pourris de gui. Je perds mon poste à grives, surtout draines, mais il fallait que je fasse quelque chose, ça se cassait la g. #snif#
J’ai préparé mon projet de plantation pour faire de ce petit hectare un buffet garni pour turdidés. En ciblant plus musiciennes, mauvis, et litornes en hiver.Je vais y planter un verger de fruitiers:
pommiers en variétés tardives (granny smith, belle fille de salins, belle de boskoop, starking, melrose), figuiers, un rang de cassis, un de groseilles à grappe rouge, un rang de framboisiers.
Le tout séparé de haies: 2 rangs de pommiers, une haie, 2 rangs de pommiers, une haie, 2 rangs de figuiers, une haie, etc.Haie composée de:
pyracantha rouge, cotoneaster lactea, aubépine, églantier, troène des bois, alisier blanc, pommier Everest, kaki sauvage (diospyros lotus), fusain d’Europe, laurier-sauce, arbre aux faisans (leycesteria formosa), sorbier des oiseaux et sans doute des argousiers (hippophae)…
Pas de prunelier parce qu’il y en a déjà dans le coin et que ça drageonne trop.J’aurais bien tenté le phillyrea angustifolia, mais il y a apparemment des pieds mâles stériles, et je ne veux pas prendre le risque d’occuper de l’espace pour rien, et je ne sais même pas si ça fructifierait si loin du Sud…
De quoi m’occuper quelques journées de plantation cet hiver… 😉
Après, je récupèrerai bien quelques fruits, et le reste aux oiseaux.
ça y est, c’est fait.
Les peupliers de mon poste (voir le sujet: Agachon en bord de Loire ) sont exploités, et les végétaux plantés.Deux rangs de pommiers (protections noires), une haie (protections vertes), deux rangs de pommiers, une haie, etc
Et les tas de bois restants vont finir en garennes…
Il ne reste plus qu’à patienter…
😉Pour moi:
1/ lagrive
2/ Cfranky
3/ nikoEt un grand bravo à lagrive pour sa magnifique composition, superbes lumières… top.
Hier soir, alors que j’étais au bord d’un étang à l’affût des ragondins à l’arc, temps calme, sans vent, un vol de plusieurs centaines de grives m’est passé au dessus de la tête. A une centaine de mètres de haut, avec quelques palombes dedans. Puis un vol d’une centaine de palombes une minute après.
Par contre, j’ai pas compris: :hein: direction N-NE… Gelée blanche ce matin.Désolé pour le HS, Olivier, sur la première photo ton fusil n’est-il pas un Damon Petrik B6 ?
Oui, c’est bien cela. Le 16 de feu mon grand-père. Un fusil léger comme une plume, sans bande de visée. Un fusil très sympa en billebaude, et efficace au poste car choké. 😉
Fin de la parenthèse polluante… :rougis:Non, on peut distinguer sur la première photo qu’il y a une berge de 8/10m de haut (au 1/3 de la photo). Donc c’est très drainé comme terrain, et sableux.
En 35 ans, je n’ai jamais vu la Loire en sortir là. Mais c’est quand même une zone classée inondable. D’ailleurs ce qui m’empêche tout boisement de +2m, seulement verger.De la mauvis en passage d’octobre, dans les haies. Et les litornes plus tard avec le froid, surtout dans les vergers de pommiers, ou près de pâtures à moutons.
Mais il faut pouvoir y chasser… :bof:Merci à tous. 🙂
Il y en a de magnifiques! Je vois déjà les gagnants potentiels…
Petite participation, photos de qualité médiocre (tél. portable).
Celle-ci a une petite histoire, puisque je n’y suis pour rien dans la mise en scène.
Je l’ai trouvé ainsi, la tête coincée dans une fourche, après avoir cherché pendant 20 minutes au sol, à faire des aller-retours entre l’endroit d’où je la tire, et l’endroit de chute supposé, pour reprendre la distance, l’axe de chute… Ce sont quelques plumes légères au sol qui m’ont fait lever la tête… :ouf:salut à tous.
oui Tchaque 34,il y a beaucoup de grives dans les betteraves ,L’année dernière, j’en ai tiré dans des colzas en chassant le perdreau gris. Et cette année, fin octobre, il y en avait des quantités phénoménales dans de la moutarde, cultivée en CIPAN.
J’étais vert: j’avais invité un copain venu d’Isère pour chasser le perdreau gris sauvage (plan de chasse) avec ses chiens d’arrêt, et je me retenais de ne pas tirer les grives pour ne pas effrayer les perdreaux qu’on avait vu se reposer. Vert… :rules: :lick:Sans doute à y trouver des limaces, escargots ?
Je plante tout en jeunes plants, donc à la main + bêche. Ce n’est pas un souci, juste un peu de travail. Le sol est léger et se travaille bien
Je pense avoir un début de résultat dans 3 ans environ. Il faut être patient, mais c’est le principe de toute plantation. 😉
Je vais pailler les jeunes plants pour éviter l’envahissement en herbe, diminuer l’évaporation, et mettre un peu d’engrais effectivement. Et protections contre lapins, lièvres pour tous les plants et chevreuil pour les pommiers
Le sol est drainant (sable et alluvions de la Loire, qui est à 50m, et niveau précipitations, on est à 700mm. J’espère juste ne pas avoir de canicule dans l’été pour la première année. Les années suivantes, c’est moins grave; l’enracinement étant fait.Je suis en train d’exploiter un carré de peupliers à moitié morts, pourris de gui. Je perds mon poste à grives, surtout draines, mais il fallait que je fasse quelque chose, ça se cassait la g. #snif#
J’ai préparé mon projet de plantation pour faire de ce petit hectare un buffet garni pour turdidés. En ciblant plus musiciennes, mauvis, et litornes en hiver.Je vais y planter un verger de fruitiers:
pommiers en variétés tardives (granny smith, belle fille de salins, belle de boskoop, starking, melrose), figuiers, un rang de cassis, un de groseilles à grappe rouge, un rang de framboisiers.
Le tout séparé de haies: 2 rangs de pommiers, une haie, 2 rangs de pommiers, une haie, 2 rangs de figuiers, une haie, etc.Haie composée de:
pyracantha rouge, cotoneaster lactea, aubépine, églantier, troène des bois, alisier blanc, pommier Everest, kaki sauvage (diospyros lotus), fusain d’Europe, laurier-sauce, arbre aux faisans (leycesteria formosa), sorbier des oiseaux et sans doute des argousiers (hippophae)…
Pas de prunelier parce qu’il y en a déjà dans le coin et que ça drageonne trop.J’aurais bien tenté le phillyrea angustifolia, mais il y a apparemment des pieds mâles stériles, et je ne veux pas prendre le risque d’occuper de l’espace pour rien, et je ne sais même pas si ça fructifierait si loin du Sud…
De quoi m’occuper quelques journées de plantation cet hiver… 😉
Après, je récupèrerai bien quelques fruits, et le reste aux oiseaux.
Oui, le gui peut être artificiellement installé sur un arbre, mais c’est assez technique.
Voici un lien intéressant (chapitre 8 et 9 sur le semis):
http://users.telenet.be/sf15590/Gui1.htmUne photo est partie au webmaster pour un avatar perso. 😉
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