suspicion17
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Pour corriger Demole Édouard, je dirai simplement qu’il n’y a pas vraiment 2 bécasses (quoique) mais bien 2 moeurs différentes.
Une qui migre tôt et l’autre qui “habituée” migre poussée par les conditions climatiques et/ou Atmosphériques.
– Il y a une différence physique effectivement entre deux bécasses, l’une est “boisée” l’autre “mordorée” et autant d’attitudes suspectes.
Je pense que la “boisée”, celle qui migre la première est plutôt russe; les dernières attardées de cette “espèce” prises en Décembre ou Janvier sont faciles et nous laissent comme un sentiment de souffrance et cela non pas sur l’aspect mais dans/à l’approche.
– La “mordorée” tardive (j’aime bien dire blonde aussi dans le sens de la Poule Faisane) est elle plutôt “Européenne”, zone peuplée et je crois à la vue de ses attitudes “crapaud”. (elle berne un bon nombre de Goupils à mon humble avis, là ou ils pullulent en Angleterre par exemple…)
* Elle est toujours resplendissante au soleil est respire la bonne santé aussi bien sur l’aspect que dans la Chasse/Traque et conditions climatiques extrêmes.
En bref, je note deux comportements différents et morphologiquement aussi bien que deux signes de “santé”, à la lecture de l’oiseau ET du médecin qu’étais Édouard Demole, Bécassier en son temps.
=> C’est toujours en Profession de foi, qu’on y est le moins regardant ! En vous signalant au passage que je ne suis pas médecin ! Et justement !
Peut-être ne s’agit-il là que d’une petite théorie, sans réelle fondement ou autant d’erreurs, mais dans le sens médical, on y croit plus qu’à la pratique et autre bidule radar… Ne vaut-il mieux pas prévenir que guérir !?
Autour du 15 Novembre, ce serait judicieux.
Voilà.
Réponse ci-dessus posté le mercredi 24 novembre 2010 : 23:14La première bécasse que j’ai tué fut un 15 Octobre en 1997, j’avais tout juste 18 ans, extraordinaire mais pur hasard.
Ensuite dans le même genre toujours auprès du 1er Novembre à la lune par pairon souvent et tombées là par inadvertance : “On en prend une sur arrêt sec du chien et l’autre reste introuvable toute la journée”
– Le gros du passage “éclair” et “furtif” des jeunes folles pourrait donc se faire sur 1 mois entre le 15 Octobre et le 15 Novembre hors régions montagneuses ou HAUTEURS les freinent…
– Pour ce qui est de la Chasse du connaisseur en tant que bécasse qualifiée “gibier” (dans le sens ou elle est bien là, présente, cantonnée) cela ne se fait guère après le 15 Novembre et je suis gentil.
Avant le 15 Novembre, on va dire que je ne vois personnellement aucune utilité/intérêt de commencer “la Chasse à la bécasse” puisque ce que j’aime avant tout dans cette chasse, c’est déjouer les pièges, relativement stratège de la VIEILLE et de façon aisée (dans la mesure du possible coûte que coûte avant la tombée de la nuit de la journée passée à la traquer, j’aime conclure) sachant qu’une fois la bécasse prise, je me rends vite compte qu’en réalité, feu de l’action après l’effort en baisse/s’atténuant que finalement, récapitulation : “Elle m’en aura bien fait baver”.
Et autant de souvenirs gravés.
Bye.
Pour conclure, je dirai qu’aujourd’hui rien ne sert de chasser la bécasse avant début Décembre. Pour cette année j’espère avoir les conditions idéales (à mes yeux) autour du 10/15.
=> Ne s’agirait-il pas là d’une question d’éthique ?
Ok pour le serveur, mais je ne suis pas doué en informatique.
Réponse ci-dessus posté le mercredi 24 novembre 2010 : 21:59Les jeunes migrent soi-disant les premières (elles ne se cantonnent quasi pas; la lune du 1er Novembre me les a fait “chasser” quelquefois sans grand succès), en repoussant ou en imposant une date plus tardive pour chasser la belle, nous tirerions donc logiquement les plus vieilles, les retardataires qui biologiquement, horloge interne, sont moins pousser à l’instinct de reproduction primaire voire même a sa propre survie en tant que GIBIER cantonné.
Nous éviterions donc de chasser la bécasse trop tôt et nous limiterions, calcul, la prise des jeunes.
– J’ai lu pour les incendies en Russie, mais j’ai aussi lu que plus une espèce est menacée et plus (horloge interne) l’instinct de reproduction s’accroit naturellement au fil de l’Histoire. – Un peu comme avec la forêt australienne après un incendie volontaire ou non, le végétal, l’animal ! 😉
Bref, c’est de la logique enfantine.
Bonjour à tous,
Pour ma part, étant Oléronais (17), je vais seulement là de fin Novembre jusqu’à fin Janvier (la fermeture de la Chasse sur les terres) commencer à visiter mes coins à bécasse/s.
– Je chasse à la billebaude, c’est à dire que même si je pars chasser la bécasse rien ne m’empêchera éventuellement de tirer une palombe imprudente… (bouh !)
– J’attends toujours la fin des premières grosses longues pluies de Novembre pour démarrer “la chasse à la bécasse” et comme après la pluie vient le beau temps clair de Novembre et froid, c’est à cette date précise que je risque de surprendre les premières. => Je ne suis pas météorologue mais j’ai pu remarquer que les temps pluvieux en automne ou en hiver (dits couverts) rehaussent la température et ne favorisent en rien la migration de la bécasse (puisque couvert, référence bouquin des passages favorisés par nuits étoilées et le magnétisme…) par contre une fois le “masque” tombé (le temps devenant plus clair) la température dégringole; le temps clair, froid et sec de nos nuits (de préférence non venteuses) favorisent le passage sur le littoral et cela pour tous types d’oiseaux limicoles y compris bien entendu la bécasse; les sols gorgés d’eau y favorisant leur “cantonnement” pour cause de facilité d’alimentation.
L’année dernière, j’ai bien calculé le coup et j’ai réussi avec mon chien “Belle” à prélever sur la période donnée plus haute, 8 oiseaux. (La dernière étant tuée le 24 Janvier 2010)
– Je pense que la Chasse à la bécasse est aussi un CALCUL et que rien ne sert de courir, il faut partir à point.
N.B : J’ai lu un nombre incalculable de récits sur le sujet plus ou moins fantasques (les temps changent) et je vous conseille un bouquin avisé sur le sujet : “Subtilité de la chasse à la bécasse” d’Édouard Demole. De loin plus avisé qu’Oberthur.J sur le sujet même si nettement moins technique dans l’approche globale de la Chasse.
A + !
Réponse ci-dessus posté le mercredi 24 novembre 2010 : 20:28Pas de clochette pour moi sur ce type d’oiseau “tardif”, affûté, frileux… Et puis pas la peine puisque que je chasse en semi-plaine donc sur boqueteaux.
– J’ai déjà tué une bécasse à l’arrêt de mon chien ou ? Dans une vigne tel un perdreau. J’aime tout aussi bien la manger, je ne me pose donc pas beaucoup de question d’éthique.
Honte au fin gastronome !?