Nouveau livre anti chasse…
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Voici pour votre information encore un livre anti-chasse qui vient de sortir et qui n’a pour but que de nous rendre encore un peu plus impopulaire avec beaucoup ânerie de dites et surtout la volonté de faire interdire la chasse le dimanche ( entre autres.)…..:grr
Le titre du livre:
Comment se promener dans les bois sans se faire tirer dessus !
Voici un petit résumé:
Le livre qui répond à toutes vos questions sur la chasse
Comment se promener dans les bois sans se faire tirer dessus« Nul n’est censé ignorer la loi ». Pourtant, rien n’est fait pour vous la rendre accessible, surtout pour ce qui touche la chasse ! Ce guide pratique met, enfin, la loi à la portée de tous. Il nous révèle les abus d’un lobby puissant, sa connivence avec les politiques, sa « gestion » calamiteuse de la nature. Il nous montre aussi à quel point les non chasseurs sont spoliés.
Ce livre est une œuvre collective, rédigée par l’équipe de choc de l’ASPAS, l’Association pour la protection des animaux sauvages. Entièrement indépendante financièrement, cette association citoyenne s’est souvent fait remarquer par l’efficacité de ses actions en justice, notamment pour protéger les animaux classés « nuisibles », et dans sa lutte de pointe pour la sauvegarde de nos loups. Le service juridique de cette association reçoit quotidiennement des questions du public, qui ont en grande partie fourni la matière première de cet ouvrage. Vous devriez donc y trouver les réponses à toutes vos interrogations, et à n’en pas douter, vous découvrirez au passage des faits que vous ne soupçonniez pas.
Savez-vous, par exemple, qu’il n’existe plus de règles de sécurité au niveau national, que le lobby chasse refuse les alcootests, et qu’un homicide à la chasse, même en récidive, n’est jamais sévèrement puni ? Une arme de chasse peut tuer à trois kilomètres, et malgré toutes ces menaces pour les promeneurs, malgré les 150 à 200 blessés et la vingtaine de morts par an, Mme Bachelot s’est permis de retirer le jour de non chasse en France. Aujourd’hui, on peut donc chasser tous les jours, toute l’année, y compris des espèces menacées comme le canard chipeau ou le grand tétras, et même dans la majorité des réserves naturelles !
La chasse n’est pourtant qu’une toute petite partie de l’utilisation de nos terroirs par les citoyens. Plus de 2 millions de cavaliers, plus de 15 millions de randonneurs, plus de 20 millions de cyclistes, auxquels il faut rajouter les simples promeneurs, cueilleurs de champignons, scolaires, naturalistes, artistes, photographes, sportifs et autres utilisateurs de la nature – tous en pleine expansion – forment une écrasante majorité au regard du million de chasseurs en France.
Pourtant, ce sont bien les représentants des chasseurs qui siègent majoritairement dans les commissions de conseil des préfets et du ministre de l’Écologie. Et les avis de ces commissions, contrôlées par les chasseurs, sont presque toujours suivis. Tenus pour impartiaux et détachés de tout intérêt privé, ils expriment en réalité les intérêts des chasseurs qui défendent en priorité leur loisir, et non l’environnement et la biodiversité. Et si les citoyens reprenaient possession de leurs terroirs ?
Cet ouvrage est traité sous forme de questions. En voici quelques-unes :
Des chasseurs peuvent-ils m’interdire l’accès d’un chemin de promenade ?
Les tirs près des habitations les tirs sont-ils interdits ?
Quelles sont les animaux chassables ?
J’ai renversé un chevreuil sur la route, que faire ?
Qu’est-ce qu’un animal nuisible ?
Qui décide des lois sur la chasse en France ?
J’ai entendu tirer pendant la nuit, est-ce légal ?
Qui peut verbaliser un acte de braconnage ?
À partir de quel âge peut-on chasser ?
Puis-je interdire la chasse dans mon jardin ?En exclusivité pour la Buvette, voici un extrait de l’une des questions traitées dans ce livre :
La chasse est-elle une pratique écologique ?(…) L’histoire du bouquetin des Alpes est l’un des nombreux exemples de l’impact destructeur des fusils en France, et du manque total d’anticipation de ceux qui s’en servent. On doit la survie de l’espèce à un monarque italien qui préservait son gibier dans la réserve de chasse royale du Grand Paradis. De l’autre côté de la frontière, l’histoire est tout autre. À la fin du XIXème siècle, le bouquetin des Alpes avait complètement disparu de France à cause des armes à feu, car l’animal est peu farouche, donc facile à tirer. Mais cela n’a jamais servi de leçon. En 1934, quelques individus venus du Grand Paradis réapparurent dans notre pays, ce qui représentait un immense espoir pour l’espèce. Le petit troupeau était exterminé par les chasseurs locaux en 1947. D’autres bouquetins firent un deuxième retour en Vanoise. Cette fois-ci, les autorités prirent les choses en main et en 1963, elles créèrent le premier parc français.
Depuis, des captures et des réintroductions ont permis aux bouquetins de reconquérir certains de leurs anciens territoires. Mais déjà, une pression constante s’exerce pour changer leur statut d’espèce protégée afin de pouvoir les tirer à nouveau. Cette obsession de la gâchette pousse jusqu’à la stupidité la plus contre-productive : des représentants de la chasse n’ont pas hésité à empêcher le retour de l’animal ! Ainsi, la fédération des chasseurs de l’Isère s’est opposée à la réintroduction du bouquetin sur le massif de la Chartreuse, pour la simple et mauvaise raison qu’il n’est pas chassable. Autrement dit, un animal qui n’entre pas dans le cadre du loisir de quelques-uns n’a aucun droit d’exister à leurs yeux… L’opération n’a finalement été possible que par le biais de l’administration. Mais dans le massif des Baronnies, la réintroduction des bouquetins a été totalement bloquée par les chasseurs ! Ce qui a eu pour effet de bien mettre en colère tous les amateurs de nature, sans parler du potentiel touristique perdu.
Comme leurs cousins alpins, les bouquetins des Pyrénées ont subi les mêmes massacres au-delà de la raison : ils ont totalement disparu de nos montagnes en l’an 2000. Mais tout va bien : l’espèce a été classée protégée en France en… 2012.
Sur l’arc alpin, la France est le seul pays qui a laissé disparaître ses grands tétras, des oiseaux en raréfaction mais toujours chassables dans les Pyrénées, où il en reste quelques-uns. Les chasseurs français ont également le droit d’abattre des oiseaux migrateurs protégés dans les autres pays, anéantissant les efforts écologiques de nos voisins. Oiseaux limicoles, canards, alouettes, etc., les exemples de « gestion » calamiteuse abondent.
Enfin, les naturalistes ont quelques raisons d’en vouloir aux chasseurs pour la manière dont ils déciment nos animaux les plus emblématiques. Les ours Claude, Melba ou Cannelle – la dernière femelle de souche pyrénéenne -, ont été abattus par des chasseurs incapables de gérer la rencontre avec un animal qui ne pose de problème qu’à eux : aucun promeneur ne s’est jamais plaint, et les naturalistes essaient désespérément de croiser la bête… Quant à la bonne vingtaine de lynx réintroduits dans les Vosges, où ils se sont reproduits pendant des années, ils ont aujourd’hui disparu de la région. Dans les Vosges on chasse depuis des pylônes, et il est facile de tirer un animal incognito, dans le secret des forêts…
Les pires ennemis des chasseurs sont les protecteurs de la nature, qu’ils appellent « les escrologistes ». Ces derniers le leur rendent bien, ils baptisent souvent les chasseurs du doux nom de « viandards ».
Autres exemples calamiteux de la « gestion » anti-écologique de la faune par les chasseurs : le gibier d’élevage, la prolifération des sangliers ou la notion de « nuisibles », questions traitées dans ce livre. Enfin, même si certains peuvent les qualifier « d’écologiques », car elles miment la chasse des animaux sauvages eux-mêmes, les véneries sur et sous terre, c’est-à-dire la chasse à courre et le déterrage, révoltent les défenseurs des animaux à cause de leur brutalité et des souffrances qu’elles infligent.
Les naturalistes reprochent également aux chasseurs de ne jamais se situer de leur côté lors de leurs campagnes en faveur de la nature et de la biodiversité, et de ne manifester que pour la chasse. Pire, beaucoup reçoivent des menaces de mort, ou des provocations s’ils ont dénoncé un acte de braconnage ou défendu un prédateur comme le loup, ou encore porté des autocollants écologistes. Certains se sont fait crever leurs pneus, casser leur matériel, voire frapper. De leur côté, des chasseurs se plaignent de sabotages, essentiellement lors de chasses à courre. Mais ils ont obtenu que ces actions puissent juridiquement être réprimées (…).
Marc Giraud
Marc Giraud est naturaliste, écrivain, et chroniqueur pour des documentaires à succès notamment « la France sauvage », « La nature à votre porte », « Ca se passe près de chez vous ». Auteur de nombreux ouvrages sur la nature, Le Kamasutra des demoiselles, Calme plat chez les soles, Darwin, C’est tout bête, Super bestiaire, La nature en bord de chemin… Marc Giraud est vice-président de l’association pour la protection des animaux sauvages, avec laquelle Comment se promener dans les bois sans se faire tirer dessus a été écrit.
Parution 4 septembre 2014, éditions Allary,
écrit par les juristes de l’ASPAS et coordonné par Marc Giraud, Vice-président.
Souscription possible auprès de l’ASPAS.
Thèmes : Acteur – GIRAUD Marc, Association – ASPAS, Culture – Livres, Culture – Livres – Chasse
AccueilPeut etre tres utile si on a plus de p.q……
Cela semble en effet logique pour un livre de merde!!!
bonsoir,
cocardier a écrit:Peut etre tres utile si on a plus de p.q……
tu peux y rajouter le livre de l’ex première dame de france sorti récemment 8)
c est grave les connerie que l on peut lire et qui sont autorisé a être publiée , on pourait classer ceci comme de la discrimination mensongere , la seul chose de vrai c est que se sont des escrologiste #yoo#
Bonjour.
Et maintenant, les promeneurs vont penser tout savoir, meme mieux que nous, et vont nous donner des leçons.J’espere que le service juridique de la FNC va décortiquer tout ça et prendre les mesures necessaires au cas ou……..
quant a remplacer le PQ, je ne suis pas d’accord…..mon C…est bien plus digne que ça:D
Bonjour
Ah bon, un chasseur ne fait pas de cheval, de randonnée, de vélo, ne ramasse pas les champignons?
Mais par ailleurs il paye pour la protection de son territoire et du coup son loisir.Ce ne devrait pas porter le nom de livre ce genre de mer….. et dire qu’il y a des gens qui vont payer pour le lire et tout prendre pour argent comptant navrant…
Comment on peux autorisé un ramassi de connerie dans ce genre ????
Mais que fait la fnc dans ces cas ?
Consternant c’est escrolos
salut très dur a trouver en rupture de stock !!!!!! #malade#
Alors… vous avez déjà réagit à ces quelques lignes extraites du livre, mais je pense que ce n’est rien comparé aux réactions qui arriveront après que vous ayez vu la vidéo ci-dessous, où le livre est présenté par son auteur ! :bigeek:
Regardez à partir de 6 min c’est là que ça se passe…
A plus tard… :bang:Bof!!! c’est toujours la même chanson. Je m’attendais à quelque chose de plus “saignant” et ce sont toujours les mêmes propos “bateau”.
Encore une de ces émissions TV de m…. qui n’apportent rien.Bonsoir à tous,
quel homme!!!! Personne médisante, attisant le feu allumé par les anti chasse!!!
Non mais avez vous bien entendu les dires de cet énergumène??? Une seul question éliminatoire au permis de chasser, je suis naturaliste et passionné de la nature etc etc….. Nous chasseurs, faisons parti intégrante de la nature, sommes amoureux et bien plus passionnés de celle-ci que ce fielleux de pseudo écrivain.
Quelle ignominie nous assène t-il.
Ce Marc Giraud, quelle belle tête de lâche sur un corps de traître……
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