birdy54
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Merci Maître Grandet, précis et passionnant, (et je maintiens “Maître”) On rentre dans le domaine de l’alchimie et de l’art. Ce jaspage qui nous hypnotisait, dès les premières pages du catalogue de Manufrance tournées. Je comprends la différence de prix, sur ce site d’enchères entre un simplex, au jaspage passé ou bien présent. J’ai moi-même un simplex 12, à bascule simplement bronzé, c’est propre mais ça n’a pas du tout la même gueule…
Tu as fait un beau métier, Grandet!Bonsoir à tous,
j’ai posté une question hier, mais je ne sais pas où elle est passée, donc on la refait :
Maître Grandet, sur un établi perché
Que votre fusil me paraît beau,
sans mentir……………….
ça c’était pour l’ambiance, en fait voilà ma question :
quelle différence entre bleuissage et jaspage?
Pour un fusil utilisé, et non de collection, laquelle des deux opérations, tient la mieux dans le temps?Samby,
le lien du site pour nous mettre les photos :
http://www.grives.net/index.php?mod=forum&ac=voir&id=29Bonsoir les Apiboys,
Avec la pluie revenue, ouf, c’était sec, les abeilles de mon essaim de juin (35 atterros minutes en fin d’après-midi) reviennent chargées de pollen (à part le tilleul???) …et oui il va falloir nourrir les nouvelles naissances pour renforcer cette petite colonie avant l’hiver. Le centre de la grappe doit rester à 35°, même si il gèle dehors, alors il faut du monde autour de la reine. Les abeilles maintiennent cette t° par tétanisation des muscles, ou genre de spasmes qui dégagent de l’énergie.
Elles m’ont quand même tété 14 kg de sirop en 4 semaines, il le fallait pour guérir le traumatisme.
Quant à l’essaim du 2 avril, c’est un marché chinois, y a du monde…
Bonne soirée.Bonjour,
Je vois des abeilles sur les fruits abîmés par les intempéries , oiseaux, ou des insectes guêpes. Dans les ouvrages apicoles il est dit que l’abeille ne se nourrit pas de fruit, donc ne l’abîme pas. Par contre si le fruit a été abîmé, elle va profiter du sirop qui s’écoule.
Encore des butineuses sur les derniers chatons du châtaignier de mon jardin. Formidable, une floraison qui dure plus de 15 jours, heureux le berger des abeilles qui peut transhumer dans la châtaigneraie.
En forêt dans la canopée, bourdonnement intense, c’est la récolte du miellat.
à bientôt!Si tu ne les mets pas le soir même en place, et si le déplacement est de moins de 3 km, ce qui est le cas, tu as la possibilité de les mettre 2 jours en cave. Lorsque tu les réinstalleras, elles devront reprogrammer le repérage de leur nouvelle ruche,cercles de plus en plus grands, et ensuite transmettre les coordonnées à l’intérieur de la ruche, par leur fameuse danse. Ce sera le comportement d’un nouvelle colonie.
Bonne journée à tous.bonjour,
oh! il faut relativiser, nous travaillons avec filet sur la tête!
Je pense Samby qu’il y a une alternative.
Tu te contentes de l’échelle que tu as. Au sol, sous l’essaim, tu délie une botte de paille ou de foin. Tu prends une scie élagueuse, manuelle ou motorisée, tu scies la branche. Prends soin de faire une entaille du côté de la chute avant, sinon la branche va plier et venir taper sur le tronc,, le foin au sol devrait limiter les dégâts. Bonne journée à tous.Bonsoir à tous,
Samby, si tu n’as pas le vertige, tu montes avec des pinces d’élagueur aux chevilles, tu t’assures avec une sangle. Par prudence il faut être deux, même avec l’échelle qui va bien. Tu t’accroches une corde pendante à la ceinture.
deux solutions :
1) tu y accroches une caisse ou ruchette dans laquelle tu secoueras l’essaim.
2) tu accroches à la corde la branche qui supporte l’essaim, tu scies la branche, sans brusquerie, et tu la fais descendre au sol, sans choc si possible.
Après au sol tu sais comment faire.
Si tu abats ton pin, il va y avoir des cadavres et peut-être la reine. Le 3 eme essaim que j’ai extrait sur un arbre abattu, à la chute, les rayons étaient tombés à plat, ils ont comprimé les abeilles, celles qui n’étaient pas mortes se sont asphyxiées engluées dans leur miel. J’ai mis ce qui restaient dans la ruchette et 3 jours après le vide. C’est là que je me suis dit, avec le recul, que dans la cinquantaine d’abeilles qui restaient collées à mon chapeau et que j’ai promené, il y avait peut-être la reine. A deux on s’en serait rendu compte, j’aurai pu au moins faire un nucléi.
Tu as vu la reine de l’essaim, pour être sûr qu’il s’agit de ta ruche qui a essaimé?
Si tu réussis à le capturer, la colonie aura du mal à faire des réserves pour passer l’hiver, il faudra être généreux en sirop puis en candi.
Prudence et à bientôt de tes nouvelles.
Ah, j’oubliai, si tu arrives à récupérer les rayons de miel, tu peux peut-être leur mettre dans le nourrisseur, quant aux rayons de couvain, tu peux doubler sur la largeur les fils d’un cadre et tu glisses le rayon entre les deux fils, ça fait de l’avance pour la nursery.Bonjour à tous,
Bonne nouvelle, les abeilles de l’essaim sauvage issue de la grume de chêne, mis en ruche le 14 juin voir photo ci-dessus, ramènent du pollen, faut dire qu’elles m’ont descendu 2 kg de sirop en 2 jours, de quoi leur remonter le moral. Elles ont trouvé leurs nouvelles ressources locale.
Quant à l’essaim du 2 avril, hyper actif, tous les matins je retrouve des faux bourdons qui se sont fait dézinguer. Son altesse royale doit avoir sa dose de semences. Le plus fort de l’activité, vers 17h00, lorsque les abeilles qui travaillent uniquement dans la ruche, font leur vol de propreté.
Jusqu’à présent, les abeilles de ces essaims sauvages sont douces.
Bonne soirée.Bonsoir à tous,
j’ai refait une extraction d’essaim ce matin à 6h00, dans une grume creuse. Plus important l’essaim que le précédent, l’enruchage a été assez rapide, j’ai pu prendre tous les rayons sans casse, après une intervention chirurgicale à la tronçonneuse. Rapide sauf que je ne suis reparti que deux heures après. En arrivant à la voiture, je me suis rendu compte, en approchant de la vitre, encore en tenue d’apiculteur, que j’avais une grappe d’une cinquantaine d’abeilles au sommet du chapeau.:@ .
J’avais beau les enfumer rien à faire elles m’aimaient bien, l’enfumeur enfumé. Bien voilà ça a pris un peu de temps tout ça. J’ai donc gardé le voile et une vingtaine d’abeilles ont co-voituré avec moi. Fenêtres ouvertes, j’ai réussi à les larguer dans un rayon de moins de 3 km de la ruche. J’en ai ramené quand même trois dans le garage. J’ai laissé la ruche sur place en forêt pour une quinzaine de jours, car les tilleuls sont en fleurs et elles savent où ils se trouvent. Comme dans la pub qui répare les pare-brises,” une affaire comme ça faut pas la rater”
Bon week-end et ALLEZ LES BLEUS! :bj:Bienvenue à toi, habitant de la belle région de Sorgues, même bredouille dans ces beaux paysages, c’est déjà une récompense. Au plaisir de te lire, la saison de chasse germe tranquillement!
Bonjour
Merci les gars pour vos retours, mais moi je tiens à dire merci aux sentinelles de la planète “les Abeilles”CAPTURE ESSAIM DANS UNE GRUME DE CHENE.
Trou d’accès et de sortie des abeilles dans la partie creuse de la grume.
Préparation d’une ruchette avec trappe sur le fond amovible et plus large que le trou dans le chêne :
Mise en place de la ruchette sur le trou de l’arbre creux :
Je tappe avec un marteau pour essayer de faire monter les abeilles et surtout la reine, après avoir bien enfumé la cavité.
A lintérieur de la ruchette.
Réponse ci-dessus posté le dimanche 15 juin 2014 : 17:36suite :
Découpage de la grume, le système n’ayant pas marché, cavité trop grande, enfumage avec peu d’effet sur les abeilles :
les abeilles seront transférées dans la ruche en plastique à la main avec les gants en prenant soin de bien capturer la reine, sans la blesser
url=http://www.hostingpics.net/viewer.php?id=228736DSC05629.jpg]
[/url]La reine est bien dedans, le rappel est commencé :
url=http://www.hostingpics.net/viewer.php?id=917577DSC05630.jpg]
[/url]L’opération aura duré de 6h00 à 8h30, je les laisserai tranquilles jusqu’au soir 22h00. A ce moment je ferme la grille d’envol et petit tour nocture en voiture. Je dépose la ruche à son emplacement définif à 7 km et souhaite bonne nuit à la colonnie après tant d’émotions.
Dimanche matin 7hoo, ouverture de la ruche, les premières abeilles sortent en reconnaissance.
Dimanche 17hoo, les abeilles s’activent les cercles de vols sont de plus en plus larges, le repérage se fait, les azimuts enregistrés, ici l’épicéa près de la ruche, le sycomore un peu plus loin, le chateau d’eau et là le clocher. Les circuits vont pouvoir s’organiser, tout est mémorisé. Bien sûr je vais leur donner une bonne aide avec le sirop. Cet essaim a subi l’abattage du chêne ou il logeait avec destruction par le choc d’une grosse partie des rayons. Puis le débardage de la grume, en place à dépôt elles ont donc dû reconstruire des rayons verticaux. C’est pour cette raison, que j’ai replacé le maximum dans la ruche. La grume allait être transporté en scierie, donc l’essaim perdu.
J’espère que mon sauvetage aura servi à quelque chose. A suivre. Apicalement…Bonsoir,
ah, ça c’est de la “Gonzès”, mais bien chez les autres…….!
Demain matin, essai de capture d’essaim sauvage dans une grume débardée, c’est pas gagné, je vous tiens au courant et ferai quelques photos.
Samby, tu me fais rêver avec tes lavandes, nous ici il ne reste plus que tilleul et trèfle pour terminer la saison, je suis sur calcaire, donc pas de châtaignier, pas de bruyère, pas de sapin.
A bientôt!
