ryolite83
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Bonjour,
Je ne sais pas si les grives observées sont migratrices.
j’aurai tendence a dire que ce sont plutôt des nicheuses ou des déplacements erratiques de grives restées en moyenne montagne.
Le nombre de merles nicheur est en constante augmentation, j’ai observé une grive musicienne en mai en bord de mer, il y a des sédentaires dans les alpes…
Au vu du nombre de post et de visite sur le forum on sent la fièvre de l’ouverture qui monte avec déjà les interrogations sur la migration.
Pour alimenter le débat, je peux vous livrer une information :
J’étais en Laponie Suédoise (tiers nord de la Suède) la semaine dernière, il faisait entre 0 et 10° ce qui est froid pour la saison, chez eux c’est un temps d’après la mi-septembre.
l’hivers serait-il en avance ? …
Très belle chasse passionante. d’accord avec toi sur le choix des chokes et des N° de plombs.
Pareil chez moi, résultat c’est seulement 1 fois tous les 5 ans environ qu’il en reste à l’ouverture et le lendemain plus rien.
Salut,
Moi je tire peu +/- 300 cartouches / an à la chasse.
J’ai vraiment du mal à savoir si c’est mon tir ou ma cartouche qui font la réussite ou l’échec.
Pour le vin on fait des dégustations à l’aveugle, ce serait pas mal de faire la même chose pour les cartouches, on aurait des surprises je pense…
J’ai tiré des solognac pendant 3 saisons, j’en suis content, je ne blessait pas plus que d’habitude.
A+
Salut,
Une anecdote qui m’a marqué, toujours avec le même ami :
C’était le lendemain de mon anniversaire, j’avais dormi à peine 1 H ; je rejoins mon ami pour une partie de chasse à la bécasse.
Je manque un premier oiseau qui sort en lisière à 25 mètres en plein travers ; un peu plus tard je tue un lapin et en fin de matiné je manque une 2ème bécasse qui décolle d’un petit buisson et me passe en plein travers à 20 mètres.
Je me fais copieusement enguirlander par le bécassier chevronné qui lui n’a pas tiré un coup de fusil de la matinée.
Sur le retour nous rencontrons un groupe de chasseurs qui cassaient la croute et qui interrogent mon ami sur le résultat de la matinée.
Je n’oublierai jamais la réponse : ON a tué un lapin et LE JEUNE a manqué 2 bécasses.
No comment !
Salut,
Mon ami X… est pied noir et fort en gueule (je l’apelle X… car il doit rester mon ami). Il est passionné de chasse mais pas très doué. En revenche il a d’exceptionnelles dispositions pour enjoliver ses actions.
Lorsque j’ai pris mon premier permis à l’age de 16 ans, il était déjà chasseur depuis près de 25 ans, je buvais ses récits et le prenait pour un chasseur d’exception en rêvant de lui ressembler.
J’ai passé ma première saison de chasse a arpenter la plaine, ramper pour approcher vanneaux et pluviers, courrir derrière les grives des journées entières dans les vignes…
A force d’acharnement et malgré un coup de fusil très approximatif et grâce à chance insolente, je réussissait parfois de superbes tableaux. Ce qui au bout de quelques semaines commença a agacer et rendre un peu jaloux mon mentor, qui lui, était bécassier et considérait cette chasse comme la plus noble, je précise qu’il avait depuis longtemps mis en place (involontairement) le PMA puisque malgré son assiduité son tableau moyen est de 3 oiseaux par saison et que son record se situe à 11.
Chaque fois que je lui présentait mon tableau il me disait d’un ton dédaigneux : tu n’est qu’un petit chasseur, de peitit gibier, de plaine…
je vous cite deux ou trois anecdotes (évidemment authentiques) pour situer le potentiel du personnage :
– Un jour de novembre après de forte pluies il était allé faire un tour dans des prairies innondées en bordure d’un bois où il y a souvent des bécasses et il était tombé sur des bécassines qui paturaient dans les prairies semi-inondées.
De retour il m’apelle pour m’annoncer son tableau et me narguer :
Petit, je suis allé à la plaine pour te montrer comment on chasse leur seul gibier de plaine digne d’intérêt pour un vrai chasseur : la bécassine au chien d’arrêt. j’en ai tué 9 : 3 grosses et une petite !
– plus tard fin novembre quand les bécassiers de la commune avaient déjà prélevé 7/8 oiseaux ; il décongelait 1 ou 2 oiseaux conservés à cet effet depuis la saisons précédente et se rendait vers midi au bar du village avec l’oiseau dans la poche carnier et répétait régulièrement l’opération pour annoncer des scores proches de ceux des meilleurs.
– Un jour d’ouverture du perdreau, au moment de l’apéritif, 2/3 chasseurs vantaient les mérites de leur chien d’arrêt pour retrouver un perdreau désaillé. Chacun y allait de son anecdocte plus ou moins enjolivée. L’un d’entre eux explique que sa chienne était capable d’aller récupérer un perdreau bléssé jusqu’à Roquebrune (village Voisin) ; mon ami se sentant largement dépassé a tenté un coup d’éclat en déclarant : ma chienne, Jusqu’à Anthéor elle va les chercher les perdreaux bléssés !! ( + de 30 Km) l’assistance est restée sans voix et mon ami a conclu en disant : Jean-Pierre sert moi un cristal (boisson anisée favorite des pieds-noir) et met ma tournée !!!
Une dernière plus récente : En passant dans le village je vois un attroupement de 5/6 chasseurs qui entourent mon ami qui raconte ses exploits de la matinée. il commence par se plaindre de l’absence de bécasse et de gibier en général puis indique qu’il a levé un cocq faisan SAUVAGE mais qu’il est parti à 45/50 mètres à travers des arbres et qu’avec son canon rayé il n’a pas pu le tuer.
Puis il explique qu’il a tué un merle d’un tir réflexe exceptionnel.
Un autre chasseur lui coupe la parole pour raconter sa partie de chasse ou il avait lui aussi raté un faisan. Mon ami reprend la parole et dit tu vois c’est bizare le tir, j’ai tué ce merle dans des conditions de tir incroyablement difficiles et ce cocq sauvage qui m’est parti dans les pieds je l’ai manqué lamantablement !
Au début ce comportement m’a dabord déçu, puis agacé ; avec la maturité, je trouve maintenant que ce type de personnage donne un certain charme aux récits de chasse et cela me fait beaucoup rire.
Je redoute le moment, où je n’entendrai plus cette voix tonitrunate aux accents ensoleillés justifier avec une mauvaise foi évidente les bredouilles ou les ratés et enjoliver les succès ou s’approprier ceux des autres…
Salut,
Si tu fais le voyage spécialement pour acheter des cartouches, il faut qu’il y ait un sacré ecart de prix pour rentabiliser ! Ou en acheter des quantités pour les revendre.
je n’ai pas d’info précises mais j’imagine qu’il y a des règles doinières comme pour les autres produits.
Cela me paraît risqué pour un gain pas si évident…
A+
Salut et bienvenue.
Très intéressant ta présentation et tes posts sur la faune de ta région.
A bientôt.
Salut,
je n’ai pas de chien et je chasse la grive depuis 21 ans.
J’en perd moins de 5% par saison ; après je ne fais pas non plus de très gros tableaux.
Pour éviter d’en perdre il faut impérativement :
– modérer les distances de tir pour moi en général maxi 30 mètres exceptionellement 35 m.
– Choisir une poste ou l’on peut le retrouver facilement.
– Très bien observer le point de chute ou le dernier endroit ou l’on a vu l’oiseau dans sa chute en mémorisant la trajectoire.
Je suis d’accord avec vous c’est beaucoup moins bien qu’un chien mais quand on a pas le choix…
j’ai constaté qu’avec l’expérience, j’ai développé un sens de l’observation qui m’aide beaucoup.
Je dois avouer qu’à la passée du soir, les dernières grives sont plus difficiles à retrouver.
Bonjour,
J’ai aussi l’impression que certaines variétés de “petits oiseaux” sont moinns présente qu’il y a 20/25 ans. Il est vrai aussi que je passe beaucoup moins de temps dans la nature qu’à cette époque ou je les recherchait particulièrement.
Ce que je constate autour de chez moi c’est que 2/3 Huppes viennent chaque années ; les guepiers reviennent avec une grande régularité ; on voit des Coucou.
Et il y a une espèce qui se développe c’est la péruche verte ; il y en a 3 dans mon quartier qui naviguent depuis 2/3 ans et j’en ai vu une trentaine à la base nature de Fréjus.
C’était cet hiver je faisais un footing en fin d’après midi et j’ai été attiré par leur cri elles se rassemblaient dans deux arbres qui leur servaient de dortoir.
Je vois beaucoup plus de grues cendrée qu’il y a 15/20 ans. Le pigeon ramier absent hors migration il y a 20 ans est devenu nicheur régulier.
Il est probable que des espèces régressent mais d’autres progressent ou font leur apparition.
Je ne sais pas quel est le solde entre les deux.
Salut,
Je connais un chasseur qui a un labrador parfaitement dressé pour les truffes et pour le rapport du gibier.
A l’occasion il sait aussi bourrer un lapin et faire voler une bécasse.
l’idée m’intéresse après cela dépendra de la date car pas mal pris.
A+
Salut,
Depuis cette année :
Fusil superposé Vouzelaud cal 28, canons 67 cm choques interchangeables.
En secours Verney Carron Cal 12 67 cm choques inter.
Pour les coups durs verney carron sagitaire modèle 1971 cal 12 1/2 et full canons 71 cm.Je suis très content du cal 28.