Les manqués incroyables – Journée noire à la chasse
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Un sujet intéressant!!! Pour ceux qui n’ont pas lu….
Réponse ci-dessus posté le mardi 19 juin 2012 : 14:40Allez, les nouveaux inscrits, parlez nous de vos journées Noire, çà arrive à tous…..
Bonjour ,
pour moi battue au chevreuil dans les alpes en 2009 .
45 min de marche dans la montagne pour alle me poste . La battue commence , j’entend les chiens jappé au loin . une demi heure plus tard ca s’approche les chiens sont pas loin , d’un me sort en belle 7 chevreuils je tire avec le 12 ( des balles bien sur ) deux coup rate pourtant ils sont a 20 metres .
Le pire 3 reste a porte de tir je recharge nouveaux double , encore rate .
Suite a ca je me fait chambrer par les anciens qui me disent tu tire aussi bien qu’un gars de la spa .
Aujourd’hui encore j’y pense quand je me poste et les anciens se regale a chambré encore aujourd’hui ….un sujet plaisant à lire (sauf pour l’intéressé même)
Je m’étais noté sur un fichier word le récit du jour de l’ouverture de mon 1er permis,
je viens de le relire, je vous donne juste la fin……LE manqué incroyable………Ambiance:
-la première fois que je passe une journée chasse avec un fusil entre les mains,
-une journée assez maigre en gibier mais une sensation d’avoir passé une superbe journée,
-seul un faisan levé et raté le matin, deux perdreaux prélevés l’aprés midi ainsi que quelques palombes.
-Beaucoup de palombes vu par contre ce qui à été plaisant.
-aux cotés de mon père.__________________________
C’est donc l’heure de plier bagages, (18/19h)
sur le chemin du retour quelques palombes se promènent toujours au loin, accompagnées de vol de pigeons, de corbeaux….
On se trouve vers la pointe d’un maïs, et coupons à travers le labour pour raccourcir notre marche.
A ce moment précis, nous parlions du nombre de palombes vues, et des chasseurs qui, je suppose, tiraient des pigeons sur la bute du lac au loin.
La sortie des cartouches du fusil était imminente.
Il me semble que c’est le léger bruit qu’il a fait quand il s’est mis à courir qui m’a fait prononcer un bref « hey ! ».
C’est d’une course rapide, rectiligne que le lièvre c’est levé d’un tout petit gite en direction du maïs.
Mon père tire un premier coup « PAN ! », plein dedans a priori, un léger geste de l’arrière train mais ça ne lui suffis pas,
Le deuxième coup de fusil sera le mien « PAN ! », mais je le tire juste quand il fait une embardée sur la droite afin de rentrer dans le maïs.
Nous mettons quelques instants à réaliser ce qui vient de se passer……
Le jour de l’ouverture même, a cette heure-ci,
Il était impensable de lever un lièvre ici………………….Nous avions quatre cartouches,
Il avait la vitesse et l’effet de surprise de son coté,
Et il a gagné.Joli récit, encore des adeptes de la marque Téfal :gna: #yoo#
Il faudrait que par MP quelqu’un m’approfondisse cette histoire de “téfal”
parceque je l’ai lu plusieurs fois mais je n’arrive pas à capter la subtilité…………..
si ce n’est que ça as p’tetre un rapport avec une passoire……:noel:
😉SAlut Niko47, belle journée et sois le bienvenu au club.:bj:
Pour la Cartouche Tefal, c’est celle qui ne tue point, Sony, un des membres fondateurs!!!!8), sera en mesure de te donner plus de précisions.Il faudrait que par MP quelqu’un m’approfondisse cette histoire de “téfal”
parceque je l’ai lu plusieurs fois mais je n’arrive pas à capter la subtilité…………..
si ce n’est que ça as p’tetre un rapport avec une passoire……:noel:;)Niko, les cartouches Téfal, celles qui n’attrapent jamais rien 🙂
[i]C’est donc l’heure de plier bagages, (18/19h)
sur le chemin du retour quelques palombes se promènent toujours au loin, accompagnées de vol de pigeons, de corbeaux….
On se trouve vers la pointe d’un maïs, et coupons à travers le labour pour raccourcir notre marche.
A ce moment précis, nous parlions du nombre de palombes vues, et des chasseurs qui, je suppose, tiraient des pigeons sur la bute du lac au loin.
La sortie des cartouches du fusil était imminente.
Il me semble que c’est le léger bruit qu’il a fait quand il s’est mis à courir qui m’a fait prononcer un bref « hey ! ».
C’est d’une course rapide, rectiligne que le lièvre c’est levé d’un tout petit gite en direction du maïs.
Mon père tire un premier coup « PAN ! », plein dedans a priori, un léger geste de l’arrière train mais ça ne lui suffis pas,
Le deuxième coup de fusil sera le mien « PAN ! », mais je le tire juste quand il fait une embardée sur la droite afin de rentrer dans le maïs.
Nous mettons quelques instants à réaliser ce qui vient de se passer……
Le jour de l’ouverture même, a cette heure-ci,
Il était impensable de lever un lièvre ici………………….Nous avions quatre cartouches,
Il avait la vitesse et l’effet de surprise de son coté,
Et il a gagné.[/i]Bravo Niko, un beau récit, avec un vrai talent de conteur!!! #bravo# #bravo# #bravo#
Salut niko,
Je suis sûr que ce lièvre est allé mourir quelques dizaines de mètres plus loin dans le Maïs. Je parle en connaissance de cause.
je ne pense pas picsou,
à la suite de ça on as parcouru le mais de fond en comble sans en trouver aucune trace,
il devait avoir un arrière train blindé!Réponse ci-dessus posté le mercredi 15 août 2012 : 13:12Je vous raconte un petit deuxième manqué incroyable……………..
Ma deuxième année de permis,
Mois d’octobre, un beau temps, une matinée passé à se promener en plaine……
Une matinée désertique ! quelques coups de fusil avait retenti tôt dans la matinée, mais ce n’était pas les nôtres.Quelquechose dont je ne suis pas peu fier, je possède une sorte de sixième sens,
Une bonne intuition qui me fait passer souvent (pour ne pas dire presque toujours) aux endroits ou sont remisés les gibiers, ou j’ai la chance d’en lever.Ce jour là, (On recherchais principalement perdreaux et faisans)
On longe un champ de navet ramassés (mais chez nous le paysan en laisse une quantité non négligeable ! allez comprendre pourquoi il gueule après certains qui ont les chiens qui piétine une vingtaines de pieds,bref)
Ce champ de navet doit contourner un autre champ planté lui de peupliers.De ce fait, le champ de navet tourne a droite à un endroit, puis retourne a gauche 15m plus loin pour retrouver l’alignement.
A cet endroit précis, un angle donc, j’y voit une petite touffe de mauvaises herbes……..
5m carré à peine……haut de 15cm avec quelques tiges qui montent jusqu’à 20cm………
Et j’ai cette fameuse intuition de passer par cet endroit précis ………« au cas ou »…….…J’informe mon père que je vais effectué ce détour, lui passeras à l’interieur des peupliers.
Je passe par cet angle, rien ne se lève, mon père lui fait le contour et me rejoins. Rien.
On as les pieds en plein ce bout d’herbes, et on se demande quels chemins nous allons suivre pour continuer cette matinée………
On discute une bonne minute………………………..A un moment j’entends : (je ne sais pas comment on écrit l’envol d’un perdreau)
Pour moi c’est la lettre « P » suivi d’un roulement de la langue:
Prlrlrlrlrlrlrlrlrlrlrlrl…………..le perdreau nous démarre dans les pieds à même pas 1 mètre !
Je vais dire une ou deux secondes d’incompréhension la plus totale,
Mais on a le reflexe d’épauler tout les deux.« PAN », je tire le 1er,
« PAN », mon père enchaine,
« PAN », mon deuxieme, «PAN » mon père…………..
Le perdreau à cette heure ci doit peut être courir encore………….4 cartouches tirés et un raté incroyable qui resteras dans nos mémoire.
:toudou:Bonjour Niko47 et merci pour ce récit.
Et un de plus dans la confrérie des Téfals!!!!Je me souviens de la première fois que je suis allé à la remontée , je devais avoir 17ans environ et je ne chassais qu’au poste, mon frère m’avait convaincu de l’accompagner chassé dans le haut var, la carte à la journée coutait 5 frs à l’époque et le repas également (pâte aux truffes un délice, ce qui n’était pas excessif)peu de grives dans la journée mais le soir c’était comme on dit chez nous la folie, j’avais le meilleur agachon , j’ai tiré toutes mes cartouches(je pense un peu moins qu’une cinquantaine ),pour un résultat final de une grive et encore je l’ai ramassé blessé. Les cartouches Téfal existaient déjà cela remonte à 40ans en arrière (depuis je me suis nettement amelioré:ouf: :rougis: )
Salut,
En octobre, je suis au milieu d’une vigne et je vois deux grives draines assez hautes..je m’accroupis et tente de les faire descendre avec mon chilet en imitant la siffleuse…les oiseaux réagissent et commencent à descendre en piquet telle deux “kamikases”, puis elles me passent derrière, je me retourne, les grives me voient et reprennent de la hauteur, je reprends le ramage et de nouveau elles réagissent puis je les manque lamentablement à 15 mètres:@
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