Les manqués incroyables – Journée noire à la chasse
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Un sujet pour raconter nos pires “exploits” concernant des manqués incroyables ou des journées noires que nous avons vécu à la chasse.
je me souviens d une journée noire 26 trous de suite sur des grives à 20 m la misère bilan de la journée 75 cartouches 5 prélevés. et un lièvre manque 3 fois la faute aux cartouches !!!!l’ouverture l’année passé apres un grosse journe de travail je part avec mon pere faire les champs sale et le bord des ruisseau manqué 6 perdreaux 1 lievre 3 fois et 1 lapin sans compter le palombes qui partez du bord du ruisseau retour avec une palombe pour moi et 2 perdreaux pour mon pere la faute a la fatigues et au cartouche tefal
Une de mes pemières années de permis, en chassant les grives de l’avant, j’ai manqué un lièvre double à 15 mètres par travers plein propre. Il m’a semblé que j’avais tiré les deux fois au dessus.
C’est vrai Kouke, il arrive aussi de rencontrer des journées noires, je préfére les oublier:s , la dernière en date, un lièvre qui me démarre dans les pieds au moment ou je rechargé mon semi-auto, pris de panique tir à l’arrache mais deuxième coup enraillé, misère comme tu le dis si bien.
Bon sujet Monsieur Kouke, je pense qu’il va y avoir pas mal d’anecdotes:rules: :rules:j’en es pas mal comme beaucoup je pense,mais je vais vous en raconter une qui ma marquer à vie.
je suis dans les alpes à l’approche sur chamois après une marche de 6h avec 40kg sur le dos,je suis à 1800m d’altitude, je tire un beau mâle qui ce trouve sur une crête a une distance de 150m,je le tire il bascule de l’autre côté de la falaise 50m plus bas,je vous laissent imaginer ma galère pour allez le récupère,son poids ? 52kg. :chaud!pour moi, arrivé un midi au gabion pour nourrir les canards, plus de 30 pièces de posés dans les appelants ( sarcelles, vignons, rouges ) j’ai tiré sur 6 sarcelles groupé, bléssé une l’automatique enrayé en sortant récupéré la belle 5 pilets me decolle dans les pied en bord de mare !!!!!
résultat une sarcelle éjointé que j’ai quand même sauvé.je suis dans les alpes à l’approche sur chamois après une marche de 6h
Salut Eliot, après 6 heures, je te comprend, après l’effort le réconfort;)
je me souvient d une journée noire 26 trous de suite sur des grives a 20 m la misère bilan de la journée 75 cartouches 5 prélevés. et un lievre manque 3fois la faute au cartouches!!!!
Kouke, les cartouches Téfals, c’est terrible !! :gna:
Bonsoir,
Cette année j’ai battu mon record peu glorieux de l’année passée avec 8 bécasses ratées dont trois d’affilée ronde comme des cocottes….
J’ai quand même réussi à lever quatre fois la même oiselle dans un champs de jeunes oliviers , à la quatrième fois elle me part en plein clair et….ban ban dans le vide…enfin bon j’en pas suis pas trop fier mais c’est ainsi.Cdt
pour moi ça a été un sanglier arrêté à 15 m juste derrière un pin de 10cm et j’ai eu le pin !!!
je ne m’en souviens pas…sauf un de cette année, mauvaise balle sur un chevreuil a 10m environ, elle a pris feu dans le fusil et est tombé a 2m du canon….pas de mal pour le chevreuil qui était superbement coiffé
ma première ouverture a 16 ans avec un perfex ,tiré 33 fois au perdreaux et tué 2+ manqué un lièvre
Réponse ci-dessus posté le mercredi 09 mai 2012 : 21:46il y a deux ans, des vols de palombes les une derrière les autre le long de la rivière,un petit mistral
tout pour passer une belle matinée,sauf qu’en cherchant a me placer,je me prends dans une ronce ,le fusil me tombe des mains et glisse sur la bute dans la terre fine ,résultat,le fusil semi auto plein de terre et retour a la maison pour le nettoyage complet sans compter la main en sangSympas vos histoires, j’en ai une bonne aussi.
A ma première ouverture, j’arrive seul sur un coin de chasse repéré avant (je n’avais pas encore de chien, c’était donc de la chasse à la “vasycherchetoimême”). Je vais chasser pour la première fois de ma vie, avec le fusil de mon grand père, un calibre 16 juxta emballé dans son fourreau. Je me déplace donc en voiture sur une piste de durance peu avant 7h, quand j’aperçois un coq fièrement dressé sur une bute de galets. Mon coeur s’emballe, je ne ralentis pas, fais semblant de pas le voir, et continue un peu pour me garer plus loin, et donc tenter une approche sur ce coq, probablement laché peu avant…
Je sors de la voiture tout doucement, sors mon fourreau, et là, fermeture éclair coincée, impossible de sortir le fusil… les boules, je me suis battu une bonne demi heure à tirer comme un fou sur cette fermeture sans résultat. Du coup je suis retourné chez moi (en regardant encore ce coq en passant…) prendre le deuxième calibre 16 de mon grand père.
Quand je retourne sur les lieux (1h plus tard…) je m’approche avec mon fusil cette fois de l’endroit ou j’ai vu mon coq, et je le vois tapi au fond d’un trou, à 3 m de moi… Je le met en joue, et quand même, je me dis c’est pas parceque c’est la première fois que je chasse que je dois faire le blaireau, du coup, je recule d’une 15ène de mètres, et je lui balance un caillou. Le coq décolle comme un hélicoptère, et je l’ai raté deux fois. quand j’y repense je me fend encore le gueule, c’étais mythique.
Ce matin là j’ai du tirer 30 cartouches sur palombes, une 15ène sur perdreaux, une 10ène sur faisans, et 4 ou 5 sur canards, et je suis rentré à la maison avec un perdreau, un faisan qui a eu moins de chance, un canard et une palombe, fier comme un coq.
Bref, un bon souvenir quand même.:D
Octobre 2002 en plein passage, avec mon superbe VC plume rutiant de neuf !!!ça passé comme de l’eau qui coule, des vols de palombes et de grives. Je suis posté en haut d’une petite coline face aux arbres, tiré 65 cartouches pour une palombe morte d’une crise cardique et une grive qui c’est sucidée la, en plus avec cette cochonnerie de fusil j’avais la joue et l’épaule détruit. j’ai revendu le fusil !!!!!
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