Quantité de grives en diminution ? Pourquoi ?
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bonjour,
l’homme est responsable dans 99% des cas de la diminution des populations des espèces animales de part son impact direct ou indirect.
Concernant les grives et Tchernobyl, je me rappelle étant enfant lors de cette saison, en février quand je ramenais les grives à ma grand mère une fois plumées, leur peau était noire et ma grand mère les avait jeté, m’interdisant d’en tuer encore…
Il paraît cependant que les populations de turdidés sont stables, mais une chose est sure elles passent de moins en moins par la Corse.bonne journée
SALUT pour moi les grives ne sont pas en diminution leurs habitudes ont changés, il faut s’adapter !
En octobre 2011, des milliers de musiciennes, en Charente maritime 3 jours pleins.
Les vergers du nord ouest envahi de litornes et mauvis en décembre.
Belle repasse en janvier, février localisé sur Hérault, l’Ardèche en bords de rivières
2011 restera graver dans les mémoires pour certain
a+#love#bonsoir à tous, pour répondre à la question de notre cher ami brancassi, officiellement d’après nos scientifiques et autres responsables, la quantité de turdidés en général, ou plutôt leurs population est en constante croissance, du moins pas de constatation de déclin significatif, donc en ce qui concerne leurs présences, ou plutôt leur absence dans nos belles contrées doit s’expliquer, à mon sens, ailleurs que dans les prélèvement que nous effectuons, je pense pas me tromper de beaucoup en disant que çà n’atteint même pas 5% en tout des population
Par contre, l’appauvrissement de nos cultures, l’arrachage de vignes et autres oliveraies pour des cultures plus rentables, les nettoyage obligatoire des terres en repos et bordures pour les incendies sont les manques d’aires de repos de nos turdidés, du coup de gros passages, mais pas assez a “manger” et de remises après des passées ou les plombs fuses, elles filent…
De plus, le réchauffement climatique ainsi que les courants d’air chaud ascendant et descendant (sud/nord et inversement) on considérablement changer ces dernières années, ce sont les transport en commun des oiseaux, s’ils changent un temps soit peu, tout et chamboulé !!
Quand aux catastrophes naturelles et autres, cela peut jouer peut être sur le fait qu’étant déranger dans leurs nidification (feux, ect…) cela oblige les oiseaux à se déplacer dans un sens et un moment ou ils n’en ont pas l’habitude, du coup, pas les mêmes trajectoires hivernales… ou trop longues donc des hivernages nouveaux…Bonsoir à tous, superbe analyse décrite par notre Ami Blond en ce qui concerne les courants d’air qui effectivement aident les oiseaux dans leur vol. Là en effet, le réchauffement climatique doit avoir une influence considérable sur ces courants porteurs.
salut notre ami blond a très bien résumé la situation et malheureusement je pense qu’il est dans le vrai.
bonsoir.
Je suis d’accord avec blond, il a bien résumé, mais où elles passent pendant la migration ?
Je connais des chasseurs aux quatre coins de France et chaque année c’est la même chanson.
“On ne voit rien, très peu de grive, c’est désert, ce n’est plus comme avant”
Voilà ce que j’entends depuis plusieurs années.Bonjour à tous. Sujet passionnant qui est réouvert. En Irlande pas de vignes, pas d’oliviers, très peu d’arbres fruitiers, par contre des milliers d’hectares de prairies à moutons ou quelques musiciennes verminent, mais le plus gros du cheptel se trouve dans les villages ou autour. On parle de la faute à l’urbanisation, mais en Norvège, les chachas sont très nombreux en ville, sur les toits des maisons, même sur les ronds points de route ect… Bien sûr, à part les baies sauvages à cause d’hivers rigoureux peu de cultures… J’ai vu là bas des oiseaux peinards qui sans le froid ou les jours très court de l’hiver resteraient chez eux. Là-bas on ne chasse pas les grives mais je ne suis pas (soyez en sûr) l’avocat du diable vert !
Arrêtons de faire l’autruche, et de dire que les énormes prélèvement des années 70 et 80, n’ont pas eu une influence sur la diminutions du nombre d’oiseaux par rapport à ces années de rêves ou des millions de grives fréquentaient nos territoires, du sud est, au sud ouest.
C’est sûr ce n est pas le seul facteur, mais cela a eut une influence sur les populations de grives.Est-ce que quelqu’un est capable de dire si la population des grives outre Méditerranée est toujours la même au fil des années ?
Je pense aux pays de l’Afrique du Nord, réputés pour la présence de grives.
Est-ce que quelqu’un peut en témoigner ?S’il y en a autant, elles passent bien par la France pour y aller, non ?
Je continue de penser qu’elles migrent désormais essentiellement la nuit…Sau , sur le fait quelles passent surtout la nuit je suis d’accord avec toi . Pour exemple , plusieurs fois j’ai vu dans l’aveyron des jours avec des centaines de grives jusq’au soir et le lendemain matin pratiquement plus aucune .
En effet, je pense aussi que les grives passent la nuit, car plusieurs fois je les ai entendu et en nombre, je me disais que le matin, on allait voir des grives mais c’était le calme plat.
Mais, c’est vrai que cette année a été bien triste, c’est la première fois que je vois si peu d’oiseaux depuis que je chasse.
Par contre, on s’est régalé à la palombe.bonsoir,
90 % du passage des grives s’effectuent la nuit.
Sur la commune de Piana (corse du sud), des capteurs ont été installés afin d’étudier et de dénombrer (au mieux) la migration des grives.
Ces radars enregistrent les sifflements émis par les grives lors de leur migration, en fin de saison un bilan est tiré par les techniciens de la fédération.
On s’aperçoit ainsi que la majeure partie des grives se déplacent de nuit, comme la plus part des migrateurs.
Les pêcheurs pourront vous dire ce qu’ils entendent la nuit quand il tirent leurs filets…
Je pense que les grives migrent déjà moins loin qu’avant et que le peu qui continue à descendre dans le sud de la France ne s’y arrêtent plus et continue leur chemin vers des territoires bien plus accueillant que les nôtre.bonne soirée
Pour voir si les populations de grive se porte bien, il ne faut pas observer les effectifs sur les zones d’hivernage, mais les populations sur les zones de nidification à la fin de la période de nidification.
bonsoir, je me souviens de ces année 70 et 80 où l’on voyait des milliers de grives qui passaient.
A partir des années 90, le déclin à commencé, depuis on a eut une année où l’on a vu passé des grives comme ces grandes années.
Je me suis aperçu que les grives passaient bien la nuit quand il y avait aussi la pleine lune.moi ce qui me turlupine, c’est que tous les facteurs que l’on octroie à la diminution des grives (urbanisation grandissante, diminution des haies et des cultures fruitières, modernisation de l’agriculture, luminosité nocturne du à l’éclairage public… Et bien tout ces facteurs dans les zones montagneuses des alpes de hautes Provence (04) et Hautes Alpes (05) ne sont pas présent, ou n’ont pas changé depuis les années 70, 80 !
Et pourtant, le nombre de grive en hivernage a été divisé par 10, et les bonnes années se font très rare depuis le milieu des années 90.
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