Voyages
- Ce sujet contient 98 réponses, 5 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par
, le il y a 4 années et 3 mois.
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Je propose avec ce sujet de vous faire nous raconter vos voyages, qu’ils soient de chasse ou tout simplement de loisirs.
Mon métier m’a fait beaucoup voyager et donc manquer pas mal de saisons ou parties de saisons de chasse.
A l’étranger si la pêche est souvent accessible, a contrario pour la chasse c’est bien plus compliqué, pratiquement impossible. Le seul pays où j’ai vraiment pu chasser c’est la Turquie et j’en garde un souvenir impérissable puisque j’ai fait là le tableau de ma vie en mettant à mon actif quelques bouquetins, mouflons, loups et j’aurais même pu y mettre un ours mais je n’ai pas vu l’utilité d’appuyer sur la détente puisque il ne m’a pas attaqué, et bien sur une belle variété de petits gibiers dont pas mal de lièvres et de canards.
Sur cette vieille diapo ma femme taquine la truite sur les sources de la Munzur dans la vallée d’Ovacik, un lieu sublime pour le chasseur et le pêcheur et nous n’avons jamais autant ramassé de morilles de toute notre vie!
C’est un très beau sujet Dougege.
Pour ma part, pas de séjours de chasse à l’étranger, mais beaucoup de voyages dans des pays divers comme la Syrie, la Jordanie, Tunisie, Turquie, Egypte, Inde et Islande mais aussi des safaris-photos au Kenya, en Namibie, Zimbabwe et Zambie. Je vais fouiller dans mes albums photos et je scanerai les meilleures, enfin, les moins mauvaises, on dira
Bonjour raphael30
Nous avons donc quelques expériences communes, Tunisie, Turquie, Egypte, Inde et Namibie. La Namibie c’est du tourisme, je travaillais à Cap Town et j’avais acheté un mini bus pour pouvoir me promener à chaque occasion, donc la une escapade de quatre semaines au départ du Cap et remontée jusqu’à quasiment l’Angola en passant par le Kalahari, Etoscha et retour par la Skeleton Coast et le Namib désert; époustouflant!
Le Fish River canyon
Oui, Dougege, la Namibie reste pour nous aussi un souvenir extraordinaire (nous étions 3 avec notre fils) dans un véhicule tout terrain aménagé . Un petit groupe de 12 personnes et, tous les soirs, bivouac.
L’itinéraire: Windhoek – Waterberg Plateau – Parc d’Etosha – Twyfelfontein – Cape Cross – Swakopmund – Namib Desert – Sesriem – Sossusvlei – Naukluft – Windhoek.C’était en 1994, notre fils avait 15 ans….
- D’abord Madame:
- Mon fils et moi:
- Un de nos campements:
- Le camion en panne (arbre de transmission cassé):
- Nous sommes partis à 3 chercher du secours, la partie cassée de l’arbre de transmission dans le sac à dos. Le téléphone le plus proche se trouvait à 70 km de là. Nous avons fait le chemin à pied, en carriole tirée par des mules et enfin avons été pris en stop par la seule voiture qui passait par là.
- A Etosha, beaucoup d’animaux:
- Koudous (et énormément de pintades):
- Gnous:
- de gauche à droite: Koudou mâle, Oryx, Koudou femelle:
- Aupremier plan: 2 damalisques (ou Topi), arrières plans: Zèbres, Oryx et au fond Koudous:
- Désert de Namib: dune et la rare végétation (ici, c’est même relativement “boisé” !
- Cette réponse a été modifiée le il y a 54 années et 11 mois par .
Un léopard cabotin
Qui finalement avait pris la pose devant mon minibus
J’ai fait tout ce voyage avec ce mini bus Toyota Hi Ace et la chance à voulu que je ne m’ensable jamais!
Jolies photos, notamment le léopard et le chacal doré !!!
C’est une époque maintenant lointaine où je m’étais sérieusement mis à la photo avec deux Canon A1 et une batterie d’objectifs, plutôt des diapos, puis ensuite j’avais acheté une camera MiniDV moins encombrante, tout ça bien obsolètes de nos jours. Je regrette de n’avoir pas pu profiter du matériel actuel a cette époque……
Un petit tour au Venezuela où je travaillais à la mise en service du métro de Caracas. Dès que j’en avais l’occasion je partais faire des grands tours en Amazonie, je traversais l’Orénoque sur un bac qui nous laissait à Caicara de Orinoco puis direction Puerto Ayacucho, final de la piste en remontant la rive gauche de l’Orénoque. Un jour cet anaconda était sur la piste, entouré de rapaces, je le croyais mort, je suis allé y voir de plus près, les rapaces se sont envolés et je lui ai donné un coup de pied ce qui la motivé à redescendre le talus et retrouver l’eau. Je lui ai peut-être sauvé la vie?
Une de mes occupations pendant ces escapades c’était la pêche du piranha, trop facile!
T’as pas interet à laisser trainer tes doigts !!!
Un ami c’était fait mordre, ça lui a enlevé le morceau directement.
On amorçait à la viande et en très peu de temps il y en avait une myriade. Ils se battaient pour prendre ton appât. A défaut de bas de ligne acier j’avais soudé les hameçons sur du fil électrique cuivre 2,5 mm2, et même çà ils arrivaient à le couper!
Moi je les faisait griller, comme du poisson blanc de chez nous, rien d’extraordinaire. Cependant les natifs lui prêtent des vertus aphrodisiaque et il se disait qu’après un bon “sancocho” de piranha les indiennes n’avaient plus le temps de rabaisser le pagne.
Sans vouloir être trop indiscret (mais un peu, tout de même…) est ce que tu as vérifié les dires des indiens. Scientifiquement… cela s’entend!!!
C’est une époque donc lointaine maintenant……. J’étais récemment divorcé, et en bon nouveau célibataire j’ai mené une vie de garçon assez “trépidante”. Je ne pense pas que les piranhas y soit pour quelque chose, c’est plutôt Caracas à cette époque qui s’y prêtait, c’était agréable d’y vivre, on ne s’ennuyait pas, c’était avant Chavez et Maduro, ………..
A la saison des pluies les llanos sont totalement inondés, les troupeaux y paissent en surface avec souvent seulement la tête hors de l’eau et il y a pourtant des piranhas de partout mais ils n’attaquent que la viande sanglante. J’avais pris cette photo d’un couché de soleil sur les llanos.
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