Voyages
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, le il y a 4 années et 3 mois.
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Merci dougege pour le partage de ces photos magnifiques et de ces anecdotes passionnantes c est un régal j ai l impression de lire le récit d un baroudeur que tu étais apparement et qui a eu une vie bien remplie la Drôme doit te paraître un peu ennuyeuse par rapport à ce que tu as vu même si les paysages ici aussi sont très beaux en tout cas merci
Des anecdotes je dois en avoir de quoi écrire un livre, je continuerai a en mettre quelques unes mais j’aimerai bien voir d’autres ‘aventuriers” participer.
Dans ces “eaux”, il n’y a pas que les piranhas il y a aussi plein de caïmans!
Retour en Afrique.
Photos prises lors de mon voyage au Zimbabwe (ex-Rhodésie du Sud) en 1997.
J’avoue être fasciné par les rhinocéros.
Toutes les photos qui suivent ont été prises lors d’approches à pied.
Il s’agit de rhinocéros “blancs”…
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Il s’agissait de rhinos blancs “Wide mouth), avec des noirs je ne pense pas que nous aurions posé…
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Remarque: c’était il y a 23 ans… Ah j’aimerais tant revenir à cette époque…Du Zimbabwe je n’ai fait que frôler la frontière, un autre grand périple au départ de Cap Town, avec une traversée complète de la RSA par le centre, Jobourg, Prétoria puis Louis Trichardt, Thohoyandu et entrée dans le parc Kruger par sa porte la plus au Nord. Descente du Kruger pas à pas avec changement de camp presque tous les jours, sortie par l’accès principal, traversée du Swaziland, descente par la côte vers Durban ,puis traversée du Lésotho, puis reprise de la côte vers East London et route cotière jusqu’au bercail à Cap Town. 4 semaines inoubliables. Nous avions fait une de nos haltes près d’un bled nommé Konga, au réveil devant le mini bus un jeune chaton siamois était devant la porte et plus moyen de le déloger du mini bus, nous l’avions donc adopté et bien sur nommée Konga, c’était une chatte.
Paysage du Venda, capitale Tohoyandu
Bidasse j’étais resté consigné, paquetage fait pour un départ au Vietnam à la demande d’aide en troupe du président américain au notre, ce qui ne c’est heureusement pas fait. C’est le travail qui m’a envoyé au Vietnam bien plus tard sur le dispatching d’Hanoï. Je n’ai pratiquement pas pu mettre le nez en dehors d’Hanoï.
- Cette réponse a été modifiée le il y a 54 années et 10 mois par .
Dis moi, Dougege (et les autres lecteurs…) pourrais-tu m’aider à identifier cet oiseau ? Toujours au Zimbabwe.
C’est un échassier, gros comme une outarde, avec un bec formidable.
Je dirais “calao”. Ils en existe une bonne variété.
Salut sympa ces petits reportages photos pour l Oiseau en dernier c est un bucorve du sud a +
Hè oui! C’est bien un Bucorve du Sud, merci pour la recherche.
Un très chaud séjour au Pakistan où le thermomètre flirtait souvent avec les 50°….
Un “restaurant” de Kot Addu
La rue centrale de Kot Addu
Mais qu’est ce que tu faisais au Pakistan ?
C’est vrai qu’il y a sites naturels ou historiques merveilleux, mais, je n’ai pas aimé ni le pays ni les habitants et j’en ai gardé un mauvais souvenir (faut pas y tomber malade!).
Le boulot bien sur, une mission pas très réjouissante de levées de réserves sur un site de turbines à gaz en cycle combiné. 8 mois à Kot Addu, un retour au moyen âge! Nous vivions en base vie car là, pas d’hôtel, pas de resto et une population pas très sympa effectivement. Triste et dur séjour. On tournait un peu en rond les vendredis, mais le mieux était de rester au plus près d’un climatiseur!
Avec un collègue on réservait le Pajero les vendredis et on chassait la tourterelle à la carabine à air comprimé, sans grand résultat d’ailleurs. Une fois nous étions partis un peu loin et avions passé un « péage », il y avait un gus en au milieu de nulle part qui te faisait payer pour soulever la barrière et donc t’autoriser à continuer la piste. Il nous a donné un ticket. Nous ne sommes pas allés très très loin finalement car nous sommes tombés sur une « maison » et il y avait un cadavre sur le toit laissé aux bons soins des charognards. Ça nous a refroidis et nous avons fait demi-tour. Dans les jours suivants le chauffeur pakistanais attitré du Pajero a trouvé le ticket et nous a demandé si on était allé là-bas en nous informant que c’est l’entrée d’une zone de non-droit, sans police ni armée, laissé sous la tutelle des tribus qui y habitent. En fait on s’était approché, sans le savoir, de la zone frontalière avec l’Afghanistan.
- Cette réponse a été modifiée le il y a 54 années et 10 mois par .
Je n’ai pas fréquenté que des pays sympas. Autre désert, autre pays de m****, l’Arabie Saoudite !
Je rentrais du Pérou, on ne m’a donné que le temps de refaire mes valises et carte blanche pour récupérer l’erreur d’un chargé d’affaire. Direction Ar Rass, c’est dans ce bled au milieu des sables, avec un simple « visite visa » qu’il m’a fallu organiser un chantier. Deux mois, un retour, un autre visa, encore deux mois, un retour et refus pour un autre visa, une chance.
J’ai connu là un autre vendredi mémorable. Si la plupart des vendredis il me fallait aller à Riyad pour une réunion de chantier (les représentants client ne voulant pas venir à Ar Rass), il y en a eu où, pour tuer le temps, on faisait des tours de 4×4 dans le sable avec un collègue. Il y avait une zone avec un gros rocher, on tournait autour on montait dessus au bout d’un moment on stoppe nos 4×4 au pied de ce rocher dans une sorte de crique. Arrive un pick-up, il se gare devant nos voitures, on ne peut plus partir. Le mec en sort, sabre à la main en vociférant, puis arrive un autre pick-up, puis encore d’autres, ça hurlait et nous n’en menions pas large, sans rien y comprendre. Arrive un ultime pick-up et enfin un gars qui parle anglais, qui arrive à calmer un peu les énergumènes et qui nous explique que nous aurions déranger les femmes de l’homme au sabre, qui gardaient des chèvres et qui en conséquence réclamait notre décapitation immédiate. Finalement l’instruit qui parlait anglais arrive à calmer le jeu, fait écarter la barrière de pick-up et nous dit de filer. Je lui dis nous n’avons vu ni femmes, ni chèvres, il me répond oui, il n’y a personne, mais vous êtes sur son territoire, surtout ne revenez jamais là !
Le Pérou, une première mission pour une centrale hydraulique sur le rio Chili installée en caverne dans le volcan Misti. Je logeais à Arequipa. L’accès du site était restreint et sous contrôle de police ce qui fait que le rio était pratiquement libre d’autochtones sur toute la longueur des gorges jusqu’au barrage ce qui assurait une belle densité de truites et nous étions très peu à nous risquer dans ses gorges car c’était assez casse gueule ! J’y aie fait des pêches extraordinaires.
Le chantier tournant au ralenti j’ai eu à démarrer un poste situé un peu après le col d’Anticona en attendant l’arrivée du chef de chantier désigné, donc à plus de 4000m d’altitude. L’arrivée du responsable qui devait s’occuper de ce chantier a été assez épique, je suis allé le chercher à Lima et le soir même il tombait dans les pommes, donc retour à Lima, hôpital et 15 jours plus tard je redescendais le chercher à nouveau, une semaine avec lui afin de m’assurer qu’il s’acclimatait à l’altitude et donc pour moi retour à Arequipa. Donc ce premier cycle au Pérou aura duré deux ans.
Des années plus tard retour au Pérou dans un lieu plus isolé sur le versant amazonique des Andes, une centrale hydraulique en caverne sur le rio San Gaban, deux autres années passées en base vie et encore pas mal de belles truites. En ces 4 années j’ai bien parcouru le sud du Pays, de Lima au Chili et à la Bolivie. En fait très peu au nord de Lima.
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