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salut, longui 06
regarde dans le menu général, chaque variétés de grives, selon leur sites de nidifications, on des couloirs migratoires différents, et rejoignent des sites d’hivernage différents. On peut alors affirmer que les grives qui alimentaient jadis les chasses du sud est, passent ailleurs, dérangées par l’urbanisation. le couloir du sud-est étant la vallée du rhône, on comprend pourquoi elles boudent (pollution lumineuse) les grives qui passent dans le sud ouest, passent sur l’espagne puis rejoignent les pays d’afrique du nord, et d’après ce que tu dis sont toujours aussi nombreuses. n’y a t-il pas d’éclairage sur le sud ouest également?
peut être que les sous-populations de grives qui passaient chez nous, et qui donc nichent en des lieux biens définis, ont leur populations en déclin à cause de mauvaise reproductions dues à l’activité humaine ( déforestation )
plus concrètement, nous avons toujours le passage de musciciennes en octobre, puis, plus rien à partir de novembre, alors que dans le sud ouest les passages seraient bons à cette même période ?
salut, bibou 83
qu’as tu voulu dire en disant ” que les oiseaux ne passeront pas trop haut”
salut,
tout cela est un peu flou,
moi je constate qu’il fait trop doux dans les pays scandinaves en novembre décembre, car les automnes sont de plus en plus dépressionnaires sur l’europe de l’est en particulier. il y a des vagues de froid mais trop tardives, du coup les oiseaux ne sont plus poussés par le froid intense comme avant. je connais des gens dans l’est de la france, ma mère y a vécue dans sa jeunesse également, il sont formels, le climat se radoucit au nord, fini l’époque des -20°c voir plus. les vagues de froids ne sont pas assez longues, les oiseaux ressentent des choses que nous ne pouvont comprendre, ils economisent leur reserves de graisse : si le froid ne doit pas durer,ils le savent, le sentent donc ils ne bougent pas. nous avons eût l’exemple cet hiver ou il y avait des tia tia en pagaille dans le nord, pourtant il faisait froid, il ne sont pas decendu car le redoux est revenu rapidement. je suis sûr que si toutes les conditions climatiques étaient réunies pour une bonne migration comme avant, nous aurions des oiseaux et toute les constructions des hommes ne les pertuberaient pas.
salut,
dans mon secteur, l’autoroute existe depuis longtemps, ainsi que la centrale nucléaire du tricastin
et cela n’a pas eût de conséquences.
il y une quinzaines d’années, nous avons hérité du tgv méditérrannée dans un premier temps, puis les fameuses éoliennes. depuis, c’est flagrant, les passages sont moindres, certains chasseurs sont formels.sans compter les vergers de pommiers en moins, l’arrachage des haies…. je crois que c’est avant tout un ensemble de facteurs à mettre en cause
salut
effectivement, ça vole bas, TOUT ceci reflette une petite odeur de vert, mais je suis sûr que tu dois faire de belles brochettes ?….
salut
merci pour les infos, je vais me dépécher d’envoyer ma validation et je vais faire les provisions pour les années à venir, après je vais faire comme dans l’ancien temps je vais les fabriquer moi même !
il faut avant tout un fusil bien adapté à la morphologie du chasseur, un fusil qui monte bien à l’épaule. Mais certaines cartouches permettent d’améliorer les performances. on est d’accord, celui qui prend un plein chockes avec des bourres jupes 36 g, à 15m, si il met plein dedans, il récupère du paté de grive. lorsque il faut tirer vite, que l’on est obligé de faire un tir approximatif, il vaut mieux que ca écarte.
25/07/2010 à 11:59 en réponse à : Noms des grives dans nos régions – Noms vernaculaires des grives #464627salut,
le gamay est un cépage du beaujolais. la syrah est un cépage ardéchois ( cornas ) .
salut,
Les bourres grasses sont plus chères, mais il faut savoir qu’elles présentent l’avantage de produire une gerbe aussi garnie en son centre qu’au extemitées. Avec une bourre jupe, 70% des plomb sont regroupés au centre de la gerbe, de ce fait un gibier mal visé, touché par les plombs des extémitées ( 30 % ) risque de ne pas être tué net. la jupe permet d’augmenter les portées, car les 70% de plombs du centre produiront une gerbe plus garnie, pour une même distance d’impact par rapport à une grasse.
pour des tirs à 10-15m et jusqu’a 20 m : bourre grasse si c’est un 71 cm, ou fusil qui écarte style rayé, ou canon cours 61 cm, avec chockes lisses dans tout les cas pour le tir en jupe en particulier
à partir de 15-30 m bourre jupe.
pour le cul levé, je pense, un superposé avec lisse et demi chockes, avec des bourres grasses en 7 1/2 est pas mal, l’idéal 32 g en premier coup et 34 ou 36 g en second. pour le reste, des bourres jupes feront l’affaire.
Réponse ci-dessus posté le dimanche 25 juillet 2010 : 11:25pour les chockes, en pratique, il vaut mieux laisser les grives qui passent hautes et de vouloir les tirer avec du 3/4 ou du full, car lorsque ca passe prés, on manque tout. dans tout les cas, il faut tirer devant et légèrement au dessus j’ai vu des gibiers tué net à des distances impossibles, rien que par le fait de corriger.
le sujet porte sur la migration, on parle de migrations, après il est vrai qu’un sujet en fait naître un autre, il y a tellement de choses à dire que parfois on part à la dérive.
tout est fonction des conditions climatiques du moment, je maintiens, les animaux perçoivent des sensations différentes des nôtres, le passage de septembre octobre doit se faire obligatoirement, il est immuable, pour le reste, les siffleuses passeront sans s’arrêter fin octobre jusqu’a mi-novembre, après les contingents d’oiseaux qui seront restés dans le nord, descendront si les conditions climatiques les poussent vers l’avant. nous observerons tout ça au cours de la saison à venir
23/07/2010 à 23:04 en réponse à : Noms des grives dans nos régions – Noms vernaculaires des grives #464578tu sais dans le Gard….on est un peu et même je crois, un “peu beaucoup” des gens a part. c’est le terroir qui s’exprime…
23/07/2010 à 20:46 en réponse à : Noms des grives dans nos régions – Noms vernaculaires des grives #464571salut,
dans le gard , la draine , c’est la payse, car elle est plus ou moins sédentaire, c’est la grive de pays, d’ou le nom de payse. pour les autres c’est pareil
merci le tourdre 34 pour tes explications.
j’ai déjà entendu siffler la nuit des mauvis, des musiciennes également, je ne comprend pas pourquoi il n’y a pas plus d’informations fiables, des rapports scientifiques rendus publics, pour savoir ou sont les grives quand elles ne sont pas chez nous. On ne cesse d’émettre des hypothèses farfelues, et les revues de chasse, c’est un comble, réeditent quasiemment mots pour mots les mêmes articles depuis des années.
salut,
je ne sais pas si ce que j’ai écrit est juste, mais en passionné de chasse aux grives, j’essaye de comprendre et d’interpréter à ma façon ce que j’ai lu ou entendu dire depuis mon premier permis.
lorsque j’entend dire que les mauvis notamment passent la nuit mais qu’elles ne s’arrêtent pas, je ne pense pas qu’elles traversent le pays en une nuit, dans la mesure ou elles ne voyagent pas le jour, elles sont donc bien obligées de s’arrêter quelque part au cours de la traversée de l’hexagone. soyons clair, la migration se fait de nuit, depuis toujours, alors pourquoi elles ne s’arrêterait plus, ou alors elles volent deux fois plus vite qu’avant?
selon moi il y a 3 hypothèses:
– le couloir migratoire et les habitudes migratoires ont changés à cause des changements climatiques
– les oiseaux passent mais ne s’arrêtent plus car elles n’ont rien a bouffer ( je ne vois pas comment elles le sauraient si elles ne s’arrêtent pas! )
-on attend des oiseaux qui n’existent plus ( ça fera plaisir aux écolos….)je crois surtout que l’on nous dissimule la vérité pour maintenir les permis et l’économie que représente la chasse en France. messieurs les dirigeants cynégetiques merci pour votre franchise
salut,
tu peux être tranquille il n’y aura rien pendant les 2 fameux mois comme l’année dernière. tout simplement parce que les automnes sont de plus en plus dépressionnaires sur l’europe depuis 10 ans, hors nous savons que le froid est apporté par des conditions climatiques anticyclonique. ces dernières conditions sont un appel d’air à la migration.
les passages de musiciennes du mois d’octobre sont immuables, c’est la photopériode qui declanche la migration par un phenomène hormonal, elles ont comme destination finale l’afrique. les litornes et mauvis, quand à elles ne descendent que poussées par le froid, contraintes et forcées, ce sont des migrateurs partiels.elles quittent leurs sites de nidifications à l’automne comme les autres, mais n’ont pas de destinations précises comme par exemple une bécasse qui est fidèle à sa remise d’une année sur l’autre.seuls des grand froids prolongés peuvent les faire descendre.
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