dougege – Modérateur
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Alleluia dougege bravo ta persévérance a fini par payer allez jamais 2 sans 3 😄
Peut-être sur le début de la remontée fin février il y aura encore une opportunité pour ce faire. Triste saison sans aucune grive et avec très peu de bécasses. Cette année, dégouté, j’ai manqué de rigueur dans la tenue de mon tableau de statistique et donc je n’en compte que 15 levées et cette quinzième n’est que la deuxième que je peux tirer en ayant attaqué fin octobre et en y allant pratiquement tous les matins hors mercredis!.
Nota; quand je compte des bécasses levées ce ne sont que celles que j’ai clairement identifiées, mes chiennes en voient probablement un peu plus….
Sorti pour une petite matinée d’après fermeture générale et donc débuté par un tour canard en bord d’Isère sans rien y voir et suivi d’une quête bécasse dans un secteur où je n’avais pas encore mis un pied cette année. Un fond de bois, petite pénétration autant que possible et demi-tour vers l’orée et contre toute attente, une bécasse s’envole, mais vu que je n’y crois plus depuis longtemps elle me laisse sans réaction. Elle ne doit pas être allé bien loin mais c’est une combe infernale. Finalement mes chiennes la relève, effectivement elle n’avait fgait q’un bond d’une dizaine de mètres, je la tire mais je ne la vois pas tomber. Si elle y est elle est au fond de la combe, c’est l’enfer, j’hésite à y aller et les chiennes n’y arrivent pas. Allez, il me faut descencre, après deux gamelles etdes franchissements d’infranchissable j’arrive enfin là où elle pourrait être. Mes chienne me la marque, elle y est, 329g. Cela tient du miracle, mon deuxième prèlèvement cette saison!
Avec la fermeture générale c’est donc terminé ce matin par une ultime promenade dans une saison balades avec les chiennes encombré d’un fusil et d’une superflue paire de cartouches.
Donc pour clore cette saison petit gibier nous avons abandonné les bois désespérément vides de bécasses pour retourner en plaine où nous avons quand même fait voler deux coqs à qui je souhaite de trouver des poules et de fonder des familles !
Donc maintenant il reste le gibier d’eau jusqu’au 31 janvier, plutôt rare sur nos plans d’eau cette année, les grives ; il n’y en pas eu et il n’y en aura certainement plus, les ramiers qui ont disparus depuis des mois et les bécasses qui ne sont ici que quand la météo est rude ailleurs, ce qui n’est pas le cas. Donc la promenade armée continuera jusqu’au 20 février puis on rangera le fusil et on poursuivra la promenade les mains dans les poches en continuant à se remémorer les saisons d’antan, que je le pense, nous ne reverrons jamais plus !
Une année de merde !
Et le mot est faible!
Hier, comme c’est devenu coutumier nous avons chassé dans le néant le plus total jusqu’à ce que mes pas nous amènent au bord de l’Isère et autour de nos plans d’eau.
Après avoir fait le bosquet du fond de l’étang, où parfois on y lève des bécasses, je me dirige en dernier ressort vers l’Isère et entre les roseaux et ronces j’aperçois trois canards à une vingtaine de mètres, mon premier coup en laisse un au sol, mon deuxième coup sur l’envol des deux autres est sans résultat. Il me faut donc vite trouver la descente pour accéder au bord de l’eau mais quand mes chiennes arrivent sur le canard, ce dernier, dans un ultime effort arrive à s’éloigner jusqu’au milieu de l’Isère. Ma Pia y va, fait un bout de nage en l’accompagnant et revient en le laissant. Je l’encourage à y retourner, rebelote elle nage avec le nez dessus et le laisse encore. Définitivement elle n’aime pas prendre les canards dans la gueule.
La voiture n’est pas loin et j’y ai en permanence un lancer léger muni d’un gros buldo armé d’un gros triple ce qui me permet de récupérer mes canards en eau profonde. J’avance d’une bonne centaine de mètres, un autre accès au bord, je déplie ma canne, mon canard arrive, et surprise plus de manivelle sur le moulinet, je cherche par terre, retrouve les morceaux mais l’axe est cassé, mon canard file. Je fais 500 mètres de plus, un nouvel accès mais entre des arbres et encombré de branches, mon canard arrive, je n’ai qu’une chance de tenter un lancer sans manivelle. Raté d’un rien, le canard continu sa route vers la Méditerranée, mon buldo se prend dans les branches et y restera avec le triple et le moulinet est à la poubelle !
Il y a tout juste un an mon adorable et performante Izza nous quittait brutalement me laissant déconfit. Je ne m’en suis pas encore remis d’autant plus que sur les parcours de cette triste saison, faite essentiellement de souvenirs, je la revois de partout sur chacun des lieux de ses prouesses.
Pia est maintenant une grande chasseuse grâce à toi, mais il n’y a que très peu de gibier.
Mon Izza, de là-haut, où tu es, au paradis des chiens, sache que tu me manques énormément.
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Dans leur habituelle position d’attente de l’aube et donc du signal du départ à la chasse, Java et Pia se joignent à moi pour vous souhaiter, à tous, une excellente année 2023.
MEILLEURS VOEUX.
Jamais, au grand jamais je n’ai eu une saison aussi triste, exaspérante, démotivante. Ce matin encore , comme tous les matins, on chasse dans le vide le plus absolu, pas le moindre volatile, rien de rien, le désert! Je ne sais même plus quoi dire, ayant vu des déserts bien plus peuplé que notre territoire, le désert n’est même plus le mot juste, c’est le néant!
Salut dougege être au bon endroit au bon moment c est l histoire de ma vie 😄😄😄 passes de bonnes fêtes et qui sait papa Noël nous enverra peut être quelques belles des bois 🙏
Merci galibois. Bonnes fêtes à toi aussi et à tous les adhérents de grives.net.
Et oui, mon ami et moi n’en avons vu que très peu en se concentrant sur les remises habituelles et en négligeant totalement un autre secteur où un autre chasseur en aurait fait 18, ce qui est un prélèvement exceptionnel chez nous ! On peut toujours rêver, mais le moment le plus favorable est passé !
Ma Pia fête ses trois ans aujourd’hui. Un bonheur de l’avoir à mes côtés même si on boucle notre plus triste saison! Nous n’avons jamais été au bon endroit au bon moment……….
Hier une de 329g plus une levée trop loin pour tirer.
Aujourd’hui pas un oiseau! C’est très maigre, triste saison!
Le problème n’est pas de “se manger le foie entre nous” comme tu l’écris Tazzz, mais plutôt de ne prélever sur le “capital” grives que ce qui ne porte pas atteinte à l’espèce.
Pour moi il n’y a qu’un seul principe, celui que je m’applique depuis toujours; ne prélever que ce que tu mets dans ton assiette, soit, tu manges tout ce que tu tues et tu ne tues que ce que tu manges. Donc des prèlèvements adapté à ton appétit et à celui de ta famille.
Sinon il y a le ball-trap!
😡
En fait, je suis totalement dégoûté!
En plus de 50 années de chasse, dont 18 à plein temps depuis que je suis à la retraite, je n’ai jamais vu ça, même si j’ai quand même connu des saisons creuses, mais jamais à ce point!
Je n’ai pratiquement pas vu une grive en faisant la passe tous les jours en octobre et pas d’autres passereaux non plus. Pas une seule tirée!
Novembre, mois totalement vide de tout oiseau et pas une seule pièce à mettre sur mon tableau de prèlèvement.
Décembre, idem, toujours pas le moindre oiseau et toujours zéro prélévement.
Donc tous les matins depuis la dernière semaine d’octobre je fais les bois, je n’y vois même pas un merle et pour ce qui est des bécasses c’est la déche aussi, je n’en suis qu’à onze levées (clairement identifiées), quatre tirées juste pour leur montrer que j’étais là, et une seule qui s’est bien présentée mais qui s’est sauvée par un 90° au moment de mon tir! Et depuis cinq jours je ne vois même plus de bécasse! J’en suis donc à plus de deux mois de suite sans ramener quoi que ce soit à la maison, du jamais vu!
Je me pose de sérieuses questions sur la migration dans le couloir rhôdanien!
Néant… Vu 1 merle et 1 tourdre en tout et pour tout… Quelle désolation !
Vu ce que moi je vois (rien du tout), c’est quand même l’opulence. 😀
