dougege – Modérateur
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intirable ce vent du sud ne vaut rien vivement un bon mistral
J’ai toujours fait mes meilleures chasses par vent du sud. La migration à vent de face les fait voler très bas, s’aidant du relief pour avancer. Moi j’avais l’habitude de plus facilement me mettre à la passe par vent du sud qu’autres. Cette saison, comme la dernière, quel que soit le vent il n’y a rien, c’est la dèche!
Saison lièvre terminée ce matin. Un seul levé, trop près d’une maison et il file sur la pelouse de la dite maison. Un peu plus loin trois perdreaux levés à plus de 100 m et ce fut tout pour une matinée estimée à près de 9 km par mon podomètre. Je reste dans l’économie totale de cartouches!
Bonjour Kakouille
Je limite sérieusement mes prèlèvements d’autant plus qu’il se trouve que je n’ai pas besoin de forcer pour cela tant c’est vraiment calme sur mon territoire! Et je ne chasse donc plus qu’en matinée, la motivation s’éffrite!
Les ramiers je n’en ai tiré que deux, maintenant mangés je peux envisager d’en faire une autre paire.
Le lièvre; finalement nous aurons encore une matinée demain, fermeture annoncée à 12h. Il y en a assurément bien moins, ce sera dur d’en faire un deuxième.
Les grives ne passent plus chez nous, c’est la deuxième saisons d’affilées où je ne vois pas de passage et ce n’est pas faute d’y être tous les matins. C’est donc cuit pour les draines et musiciennes et il ne reste plus qu’à espèrer les mauvis et un hiver rude qui ferait descendre des litornes…. Si tant est qu’il y en ait qui veulent bien emprunter le couloir rhôdanien.
Dès lundi je vais me consacrer à la bécasse, il y en a peu qui stationnent chez nous, mais c’est suffisant pour te motiver et c’est ce qui me tient à la chasse.
Perso, je pense que la passée d’octobre est terminée
Je ne l’ai toujours pas vu débuter, quel que soit le type de passeraux!!
Voila donc deux matinées lièvres passées. Un seul levé hier devant mon collègue, impossible à tirer trop imbriqué avec les chiennes, et un seul ce matin qui démarre dans mon dos alors que je surveillais mes chiennes qui prenaient la direction de la route, le temps de me retourner, de le situer, un peu loin peut-être et mes deux cartouches n’on fait que lui donner de l’élan, accompagné par mes chiennes jusqu’à perte de vue. Il s’en serait tué 100 sur les trois premières demi-journées de chasse et avec celles de ce week-end il est fort probable que le quota (150) sonnera la fin de la saison lièvres!
Nous avons levé une paire de perdreaux durant ces quêtes sans voire grand chose d’autre hors ce matin où il y avait des petits passereaux mais toujours pas de grives….
comment envoyé des mp merci
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je ne sais pas où tu chasses mais je te confirme que région valence
C’est indiqué sur ma localisation, confluence Rhône / Isère, soit juste avant Valence. Donc ce matin on s’est séparé avec mon ami, il s’est rapproché du Rhône et moi je suis resté sur les coteaux. Aucun passage donc lui comme moi avons fait les haies, il a tiré une grive sur son secteur, moi je n’en ai pas vu une seule ni quel autre oiseau que ce soit! Nous y allons tous les matins depuis début octobre avec un résultat identique…….. Privas c’est l’Ardèche, oui c’est fort possible qu’elles s’écartent du Rhône et passent sur les contreforts, Ardèche à droite et Vercors à gauche.
beaucoup par la vallée du Rhône en suivant le fleuve pour rejoindre l’Espagne
????? J’y suis tous les matins et il n’y a pratiquement pas la queue d’un piaf quel qu’il soit! Ce matin j’ai vu deux grives et cinq ramiers et strictement rien de plus! Que ce soit sur les coteaux ou le long du Rhône c’est du pareil au même, rien de rien. Ce matin j’ai fait coteaux et mon pote vallée pour un résultat identique, rien!
Pas un oiseau ce matin quelle que soit sa couleur ou sa taille; le vide absolu!
Les deux matinées du week-end dernier consacrées aux lièvres mais en dépit d’en avoir levé quelques-uns ils ont tous été impossible à tirer. Autre tentative pour les deux matinées du week-end prochain !
Entre temps on se consacre aux passages en début de matinée et face à l’absence de migration on complète la matinée par un tour aux perdreaux. Les après-midi c’est sieste et repos, rien qui incite à ressortir
A ma dernière prise de poste pour le passage, vite avortée, j’ai eu la surprise de voire mes chiennes lever trois faisans d’affilée en arrivant près de la voiture. Tous envoyés vers le bois ce qui me décide, pour amuser mes chiennes, d’y faire un tour. Elles y lèvent un lièvre mais point de faisan. Au retour, dans le même secteur vers ma voiture, elles lèvent un quatrième faisan, parti au bois lui aussi. Nous n’en avions levé qu’un seul depuis l’ouverture !! Il n’y a pourtant pas de lâché programmé.
J’ai quand même fini par tirer deux pigeons, ils seront cuit demain, donc je peux envisager d’en faire une autre paire.
Une + une + une = trois grives vues et ce fut tout pour la passe de ce matin! Donc abandon rapide du poste et grand tour dans la campagne, nous rentrons finalement avec un perdreau. Encore une petite semaine et je passe exclusivement à la bécasse.
Si elles étaient régler comme des horloges cette chasse perdrait de son charme .
Il fut un temps où, chez moi, couloir rhôdanien, certains prenaient des congés à cette époque, la quinzaine au milieu du mois d’octobre, justement pour faire la passe aux grives. Donc il y avait bien une fourchette de temps de gros passages quasi programmée… Ceci ne se fait plus et nous ne sommes pratiquement plus que trois a s’y tenir et le constat et sans appel nous ne voyons plus de ces passages où elles défilaient en vagues successives de dizaines ou centaines d’individus!
Après deux matinées liévres sans pouvoir en tirer un, reprise de la passe aux grives ce matin. Une petite poignée de grives seulement, en ordre dispersé, hautes; bredouille. Cela devient désespérant et je vois se profiler la même saison que l’an dernier, soit, pas de passage ici! En fait les temps de chasse sont écourtés et les siestes sont longues!
Entre 10 et 20 grives en ordre dispersé et quelques ramiers et pas un autre passereau, ce n’est toujours pas du passage. Pas encore tiré une cartouche!
Bonjour Galibois.
Je n’en suis qu’a ma quatrième chienne en dépit d’une bonne cinquantaine d’années de chasse, épisodique, du fait de ma carrière professionnelle passée en majorité à l’export. J’ai souvent chassé seul sans chien où avec les chiens des amis. Ce n’est qu’une fois à la retraite que j’ai enfin pu avoir mes propres chiennes. Tessa a été la première, Izza la seconde. Quand Tessa a commencé à décliner j’ai acheté Pia.
J’ai remplacé Izza par Java, une chienne de huit ans pour qui son maitre cherchait un adoptant car il allait partir à l’étranger. Java est une adorable chienne toujours prête pour les sorties mais semble avoir quelques faiblesses dont sa boiterie diagnostiquée comme étant une entorse par le véto qui le même jour me dit qu’elle a un souffle au coeur…
Je n’ai pas honte de dire que je pleure pour mes chiennes et d’autant plus souvent que la chasse actuelle est plus faites de souvenirs que de réussites nouvelles. A chaque passage sur les lieux de leurs exploits les souvenirs remontent, poignants.
