dougege – Modérateur
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A Noz on peut faire des découvertes. Ce midi un apéro avec un vin blanc Roumain, une première pour moi et bien agréable.
Un petit blanc italien du lac de Garde pour débuter un repas avec une salade de tomate du jardin. Je ne suis pas sur cettea année de manger des tomates du jardin tant cela à du mal à croitre!
De très bonne heure ce matin au bord du Rhône à la Roche de Glun pour l’ouverture du sandre et après avoir bien promené mon leurre sans succès rive gauche j’ai changé de rive, juste en face et j’ai eu un silure au bout, j’ai bataillé 10 à 15 minutes sans arriver à le faire remonter à la surface et il a fini par arriver à bout de ma tresse et il est parti avec mon leurre. Je l’ai vu attaquer le leurre, gros silure, 1m50 ou plus car les silures de +ou – un mètre je les ramène sans difficulté. Mais pas la queue d’un sandre, ni d’un brochet, ni même d’une perche. A suivre….
Ceviche péruvien avec, là aussi, un rosé californien
Upie sur invitation, nous étions trois sur le casse-croute, repas de midi en fait. De beaux secteurs de chasse à Upie…
A la maison; BBQ avec rosé Californien précédé d’un Moscato Italien. Mon beau-frére est italien, ils habitent à Maderno del Garda, sur les rives du lac de garde. Nous y allons de temps en temps, bel endroit et très bon vin. Un de ses amis tiens une cave et & a une boutique à Sirmione. Il a une belle panoplie de vins, mais ils ne sont pas donnés. J’aime bien cette région, c’est chouette.
Pause casse-croute lors d’une partie de chasse à Upie avec un Crozes Hermitage
Bouteille de forme Alsace mais c’est du vin de Moselle, Allemand et ce n’est pas de l’Alsace.
mais on dirait qu elle a pris l air
Non, elle était entamée quand j’ai pris la photo.
J’ai retrouvé de çi de là ,dans mon fouillis de photos, quelques photos de bouteilles, elles serviront à meubler un peu ce sujet. En visite chez un ami dans le Valays il m’avait emmené visiter quelques caves et j’étais revenu avec quelques cartons de bouteilles en blanc et en rouge, pas trop mal. Qui dit suisse dit raclette.
Pendant longtemps j’ai maintenu une cave chez moi et si j’avais continué un peu au début de ma retraite j’ai ensuite cessé de l’alimenter et petit à petit elle s’est vidée. L’avant dernière bouteille est sur cette photo, il n’en reste plus qu’une!
Je remets ma prose…
Ma mémoire autrefois sélective et désormais défaillante ne me permet plus de retracer précisément de grand moment gastronomique et je ne me souviens que d’une folie financière où j’avais associé un bourgogne millésimé de mon année de naissance (1945) à une gigue de chevreuil cuisiné à l’ancienne, (recette sortie du Curnonsky, le prince des gastronomes), c’était pour mon 45éme anniversaire.
Dans le temps pour moi le rouge festif c’était Bourgogne, Gevrey Chambertin, Chambolle-Musigny, Pommard et le blanc essentiellement Alsace et je pense qu’il n’y a rien de meilleur qu’un Gewurztraminer vendange tardive avec un foie gras poêlé, mon péché mignon.
Mes voyages m’ont permis aussi d’apprécier d’autres vins qui tiennent la route aussi, Sud-Africains, Chilien, Argentin, Hongrois, Californien, il y a de bonnes choses aussi hors de nos frontières.
Maintenant mes économies fondantes et mon budget retraite me font voir mes ambitions à la baisse et j’achète pas mal de vins Espagnol ou Chilien pour le quotidien et pour le mieux des Côtes du Rhône et plus particulièrement ceux dont je suis proche tel l’Hermitage, Cornas, ST-Joseph et St-Péray, ou alors d’un peu plus bas comme le Gigondas.
En pétillant je reste local aussi avec la Clairette de Die.
Ma participation à ce sujet a disparue??????
Les silures; j’y ai laissé trop de leurres et même une canne cassée. Si tu as un chat à nourrir tu peux en ramener à la maison sinon aucune valeur gustative. Il devient trop envahissant, il y en a quasiment partout, ils vont dominer nos rivières et laisser peu de place aux autres.
En premier lieu la CNR à litérallement privatisé les berges du Rhône en en interdisant de fait par pancartes et par obstacles l’accès en véhicule alors que c’est quand même le domaine public, et les voies vertes ont amplifié cet état de fait! Donc pour moi il est possible d’accéder un peu sous le barrage de la Roche de Glun mais il n’y a que quelques places dégagées de végétation et accessibles pour s’installer pour une pêche au posé. De plus si la vielle interdiction de pêche amont et aval des barrages avaient sautée, la CNR l’a fait remettre et parfois sur 250m ou plus. En amont sous le barrage d’Arras le chemin où je pouvais garer ma voiture sur la rive droite est devenu voie verte et sur la rive gauche tu ne peux qu’y accéder à pied! En aval, à l’embouchure de l’Isère il y avit un coin sympa, arboré, à coté du karting mais maintenant une barrière t’en interdit l’accès. Plus en aval, sous le barrage de Charmes, l’accès aux berges et quasi impossible. Voilà ce qu’il en est pour les petits bouts de vieux rhône qui restent, les accès aux parties canalisées soit la majeure partie, sont totalement interdit d’accès. J’ai l’Isère dans mon village mais elle est d’un accès très compliqué et trop souvent impêchable car elle charrie beaucoup à la moindre pluie.
Les AAPMA ne font pas grand chose hors augmenter le tarif du permis chaque année et en tous cas rien pour faciliter l’accès aux berges. Je prêche pour un permis à demi-tarif pour une demi-saison, car moi, chasseur, comme d’autres surement je ne pêche que depuis l’ouverture brochet jusqu’à l’ouverture de la chasse soit moins de 6 mois.
La réglementation est de plus en plus compliquée avec toutes ces ouvertures et fermeture décalées selon les espèces et très inégale selon les départements. La pêche aux leurres est asujettie à l’ouverture du brochet.
Il est laissé trop de place à la pêche du silure, soit-disant sportive, alors qu’il devrait être classé nuisible
Le sandre ouvre le 03 juin dans la Drôme et c’est ce que j’attends pour y aller un peu plus souvent car pour l’instant je ne suis que très moyennement motivé. Avant-hier après midi j’ai emmené mon petit-fils pour de la friture en bord de Rhône et on s’est cassé les dents sur l’impossibilité de trouver un spot , tous étaient pris, tant rive droite que rive gauche et donc retour sur notre étang où il restait une place. J’y ai pris une perche et le gamin qui pêchait tout au bord dans les herbiers a fait une quinzaine de perches soleil. Il faisait beau et on a pris l’air mais question pêche un désatre!
