dougege – Modérateur
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La barde de lard enveloppe la pomme de terre et non l’oiseau, c’est comme cela que je faisais avec les alouettes. Mais je n’en tire plus.
Une désolation, mes semis même mis dans le jardin continue à végéter tout comme les aubergines et poivrons achetés en plans. Les tomates qui avaient bien démarrées jaunissent et crévent. Je n’y comprend rien! Rien ne va cette année et je n’ai jamais eu çà???
Vu sur facebook et fait depuis quelques jours.
Mes superposés me suffisaient amplement et de fait c’est l’arrivée de l’acier en zone humide qui m’a fait acheter un nouveau fusil et une fois à l’armurerie le tarif étant séduisant je me suis laissé avoir par ce Stoeger qui, effectivement s’est avéré être une belle m**** et j’ai donc du racheté une arme plus sérieuse (l’armurier n’a pas voulu me reprendre le Stoeger). En ce temps là j’allais un peu plus au canard, je me tenais souvent au poste et en tant que secrétaire de l’ACCA je ne loupais pas une battue donc l’achat d’un semi-auto me semblait pertinent.
Puis un peu fâché avec mon ACCA, j’avais totalement abandonné les battues, l’absence de grives m’a fait totalement aussi abandonner mes postes à grives et je me suis vraiment plus retourné sur la bécasse et ne pratique plus qu’exclusivement une chasse à l’avant pour lequel un superposé s’avère être bien plus pratique et mon vieux Damon Petrix est devenu mon arme principale.
Deux cartouches sont amplement suffisantes, un fusil qui se casse offre l’avantage d’une mise en sécurité plus simple et plus démonstrative pour les « ronchons » qu’il t’arrive de croiser et au moins tu n’oublies pas d’enlever la sécurité, il est bien moins lourd et le changement de cartouches est infiniment plus aisé et plus rapide.
Après, les performances des armes à canon rayé sont liées au type de balles employées.
J’étais parti avec une pleine valise de balles et cartouches manufrance “qui pesait un âne mort”. Non ce fusil ne me convenait pas quel que soit le type de balles, alors que j’avais de belles réussites avec mon superposé.
Bien plus récemment, de fait quand il a fallut passer à l’acier j’ai réinvesti dans le semi-auto; un Stoegler qui s’est avéré être une belle cochonnerie et après seulement une saison avec deux réparations je l’ai remisé et j’ai acheté un Benelli Duca di Montafeltro qui est parfait mais finalement il ne sort plus que pour le canard et les battues et je regrette ces achats car j’aurais mieux fait d’investir dans un bon superposé chambré 76 et éprouvé acier. Je préfére chasser avec un superposé, plus maniable, bien moins lourd, beaucoup plus sur, bien plus pratique en fait. En fin de carrière, je ne ferais plus de frais pour des armes et je la terminerai avec mes deux vieux superposés, chambré 70 et non éprouvé acier et ce, quel que soit la legislation à venir.
J’en avais emmené un spécialement acheté en 71 pour mon séjour en Turquie et il avait été rayé balles. Mais heureusement que j’avais aussi emmené mon superposé Super Régent car je n’ai pas aimé ce semi auto avec lequel mes tirs étaient trop imprècis et je l’ais vite abandonné et d’ailleurs il est resté en Turquie, je ne l’ais pas ramené.
Cette année les pigeons se sont attaqués à mes cerises vertes à peine formées, puis les pies et les merles se sont joint au festin et au final ils ont complétement “plumé” mes trois cerisiers!
Mes semis qui sont depuis février dans la véranda continuent à végéter, ils vont finir au composteur, je n’y comprend rien?
Ce temps humide, frais et venteux n’amène pas assez d’eau pour éviter une annoncée sécheresse mais il est suffisamment désagréable pour te tenir inactif à la maison, même pas envie d’aller à la pêche!
La pluie me tiens à la maison, pas de promenade pour mes chiennes et pas de pêche et comme j’ai de terrible douleur dans le dos c’est pas plus mal!
Enfin il pleut, arrosage naturel, pourvu que cela dure, il y a des nappes phréatiques à remplir, quoique moi j’ai l’eau agricole, soit l’eau de l’Isère et du coup je ne comprends pas toujours les restrictions d’arrosage.
Ben moi le permis je l’ai repris cette année après avoir séché la saison passée et jusqu’à présent je reste sur deux brochetons et je commence à me dire que si cela reste comme cela toute la saison ce sera probablement mon dernier permis. Sortie ce matin au Rhône, au leurre, pas un seul toc! En fait j’attends surtout l’ouverture du sandre…
Cette législation est absurde.
Effectivement, celle en place actuellement était bien suffisante. Mais toutes ces entraves n’ont d’autre but que d’arriver à l’interdiction de la chasse.
En outre, qui va mesurer la distance tireur-cours d’eau, et comment ?
Le télémètre, c’est le seul instrument qui te donnera raison face à un garde. Encore faut-il que la vue soit dégagée!
Plus il y a d’eau sur ton territoire, plus faire un parcours à 100 m de ces points d’eau va être dur, voir même impossible.
J’ai un stock conséquent de plomb et j’ai commencé à acheter du substitut (zinc/étain) mais il n’y a pas un grand choix et pour la bécasse rien du tout. Sur notre commune il y a surtout l’Isère, les étangs et pratiquement rien d’autre ce qui laisse de la surface pour le plomb mais malheureusement mes coins favoris sont au bord de l’Isère, soit domine l’Isère pour ma principale zone de chasse à la bécasse.
Le passage au sans plomb aurait dut être plus doux en ne concernant d’abord que la vente, plus de plomb dans le commerce et nous laisser écouler nos stocks!
J’ai réduit ma surface potager et il en reste bien assez pour me casser le dos. En ce moment il y a ce vent du sud, bien soutenu, destructeur. J’ai beau avoir l’eau agricole pour mon jardin je ne suis pas sur que l’on ne soit pas limité en arrosage cette année!
Il commence à prendre forme avec tomates, poivrons, aubergines et salades. Mes semis de piments végétent cette année, encore trop petit pour être mis en terre.
Après 2022 sans prendre le permis de pêche j’ai réattaqué cette année mais petitement. Une seule sortie truite dans les gorges de la Bourne sans même en toucher une et l’ouverture carnassier dans le Rhône avec deux brochetons sortis mais loin d’être maillé. De toutes façons maillé où pas je les remet à l’eau il y a bien trop d’arêtes! Le sandre, qui lui a une belle valeur culinaire, n’ouvre qu’en juin dans la Drôme.
